1. Ma voisine est une chaudasse (1)


    Datte: 15/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... agréable. Mon bassin claquait contre ses fesses, ses gémissements se firent plus longs et profonds. Ses jambes se plièrent alors que je me focalisais sur le rythme de ses seins qui balançaient.
    
    Des seins lourds qui me donnèrent encore un peu plus envie de cette quadragénaire. Sa main glissa sur ma nuque avant de me repousser.
    
    Je me demandai pourquoi elle m’avait repoussé. Je ne dus pas attendre longtemps. Ses mollets vinrent se poser sur mes épaules et son attraction naturelle me fit à nouveau glisser en elle. Je sentis l’étau de son sexe se resserrer un peu plus. La pénétration me fit lâcher un gémissement, suivi du sien. Je me tenais à ses jambes, ne ménageant pas mes efforts. Je pense que si je continuais de la sorte, j’allais jouir dans la minute. Elle dut le sentir, car elle me repoussa. Je m’assis sur le lit et elle se glissa, à quatre pattes, entre mes cuisses.
    
    Elle devait bien connaître mon point de non-retour. Elle me suçait goulûment, mais lorsque j’arrivais proche du stade de ne plus pouvoir me retenir de jouir, lorsque mes gémissements se faisaient plus continus, elle faisait redescendre la pression, soit en me suçotant le gland, soit en ...
    ... lâchant mon sexe. Je n’avais plus aucune notion du temps. Cela aurait pu durer quelques dizaines de secondes ou de très longues minutes. Je me suis senti sur le point de jouir plusieurs fois avant que mon envie ne se stabilise. Cette femme me rendait dingue, me donnant l’une des meilleures fellations de ma vie. Je me surprenais à tenir aussi longtemps sous son assaut des plus gutturaux.
    
    Au bout d’un temps que je ne saurais estimer, elle revint sur moi, assise, mon sexe la pénétrant, comme avant, sans aucune difficulté. Elle fit quelques mouvements avant de se laisser glisser en arrière, se reposant sur ses bras. Je me redressai et chacun allions et venions. Ses mouvements me firent rapidement atteindre ce point fulgurant. Elle s’allongea alors sur le dos et je me glissai férocement en elle, en missionnaire. Elle apprécia la sauvagerie de ces derniers mouvements avant que je ne jouisse en elle.
    
    Allongé, je tentais de reprendre mes esprits lorsque je la vis se lever. Elle remit sa culotte et son short.
    
    Le soir, mes parents me taquinèrent sur le temps que j’avais pris pour déplacer les meubles. Je bafouillais une réponse, mais seulement s’ils s’étaient doutés... 
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