Vacances familiales à la campagne (2) - Histoires de Sexe

Vacances familiales à la campagne (2)

Précédemment, Thomas, ses sœurs et sa mère sont arrivés dans leur maison de campagne, suite à une décision de leur mère et pour éviter toute chamaillerie, Thomas et Marie doivent dormir ensemble dans la même chambre, tandis que celle-ci dormira avec la plus âgée de ses filles, Lucie.

Thomas ayant l’habitude de dormir nu, il s’est couché ainsi, découvrant que sa sœur ne dormait pas sans sous-vêtements, il a commencé à se masturber à côté d’elle et celle-ci s’est réveillée.

*-----*

— Thomas ? En baillant, dis-moi pas que tu es en train de te... à côté de moi ?

Sur le moment, j’ai sursauté, je ne pensais pas qu’elle se réveillerait et qu’elle me surprendrait dans un moment aussi intime, mais je n’osais pas lui répondre, car je savais que j’allais m’enfoncer un peu plus. Elle alluma la lampe de chevet pour y voir un peu plus clair et une légère lumière éclairait la chambre, elle me regardait d’un air méchant et accusateur, comme si je venais de faire quelque chose de très grave, de mon côté, je la regardais et ma main était toujours posée sur mon sexe.

— Tu comptes me répondre ou attendre le dégèle ?

— Je... effectivement, je parlais d’une voix faiblarde.

— Tu es vraiment un gros porc sérieux, je suis à côté de toi, à la limite si c’était une urgence, tu aurais pu le faire dans la salle de bain, mais pas à côté de moi, ta sœur !

— Je suis désolé, mais j’avais envie et je pouvais pas vraiment me retenir.

— Bah si, tu aurais largement pu le faire.

— ...

... Tu en sais quoi toi ? Je doute fortement, tu n’es pas un mec, tu peux pas savoir ce que c’est d’avoir une envie de se masturber quand tu bandes aussi fort que ce soir.

— Arrête de me parler de ça, tu es vraiment dégoûtant, j’aimerais bien finir ma nuit sans que tu te branles à côté de moi.

— Fais pas ta prude une fois de plus, et je fais ce que je veux à vrai dire.

— Tu me fatigues une fois de plus, au pire, finis ce que tu dois faire, qu’on arrête d’en parler.

— Merci Marie.

Je reprenais mon affaire, caché par le tissu du drap, ma sœur à côté de moi qui me tournait le dos pour ne pas me regarder faire, je prenais bien mon temps et j’imaginais Marie nue en train de me mâter et à son tour de se caresser les seins, puis sa petite chatte, je l’imaginais me faire une danse pleine de sensualité, tout en me montrant ses fesses bien fermes. Le lit, quant à lui se mettait à grincer et à bouger légèrement lors de mes mouvements de va-et-vient et je tournais la tête pour regarder ma sœur toujours dos à moi, qui elle aussi, bougeait avec les mouvements du lit.

— Marie, je peux te demander quelque chose ?

— Et tu veux me demander quoi ?

— Si tu pouvais me regarder quand je me masturbe, pour finir plus vite.

— Non, mais tu es sérieux, tu t’entends dire les conneries que tu sors ?

— Je suis sérieux Marie, juste ça, pour finir plus vite et promis, je ne t’embêterai plus avec ça !

Elle prit quelques secondes pour y réfléchir et se résigna à le faire, elle se ...