Le projet artistique (30)
Datte: 14/01/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... encore par ici."
"Oh oui bien sûr. Ne vous dérangez pas pour moi. De toute façon je finissais."
Nous entrâmes dans la salle en saluant Mlle G.
"Bonjour les garçons. On a besoin de se défouler un peu ? nous demanda-t-elle en riant."
Puis, elle ramassa ses affaires et sortit de la salle. Paul nous montra ce qu’il y avait : des gants, des bandes, deux paires de pattes d’ours. Il nous dit qu’il dressait un tapis de réception de saut contre un mur et qu’il frappait dedans. Nous essayâmes un peu tous. C’était vrai que frapper comme ça, lâcher tout, se libérer l’esprit faisait du bien. Mais nous n’étions pas habillés pour donc nous arrêtâmes vite cet essai. Nous demandâmes à Paul si nous pouvions revenir. Il nous dit que oui et que si la situation restait la même il ferait des séances avec nous. En rangeant les affaires dans le local, nous entendîmes la douche des profs. Ça devait être Mlle G qui en prenait une. En ressortant nous aperçûmes un jeune de 25 ans attendre devant le complexe. Mlle G fit son apparition juste après nous, elle le vit et alla vers lui. Elle lui roula une pelle monumentale, comme ses nichons, puis ils partirent sans nous voir.
La fin de semaine se passa sans nouveauté. La suivante débuta de la même façon. Le mercredi nous fîmes une vraie séance cette fois. Cela nous fit énormément de bien. Mlle G était là comme la fois d’avant. Elle s’était arrêtée dès que nous étions entrés. Elle nous avait souhaité une bonne séance puis était partie. Nous ...
... entendîmes de nouveau la douche. Germain aperçut une veste de survêtement qui devait être à elle. Elle avait dû l’oublier. Mais nous ne la voyions pas revenir. Germain sortit alors pour la rattraper et lui redonner. En revenant, il nous dit qu’il y avait encore un jeune qui attendait mais pas le même que la dernière fois. Elle devait changer souvent. Cette fois-là, nous prîmes une douche dans les vestiaires de la salle de gym. Même au repos la bite de Paul était visiblement plus grosse que la nôtre et continuait de nous impressionner.
Le vendredi, le premier atelier fut un enfer, elles remettaient en cause tout ce sur quoi on s’était mis d’accord l’année d’avant. Elisa, qui garda un minimum de professionnalisme, mit fin à la séance. La semaine suivante, elles entrèrent en guerre froide avec nous. Ça évitait les frictions mais ça éloignait la perspective d’excuses. Le mercredi, Paul était un peu en retard, Mlle G était déjà repartie à sa douche. Il nous dit qu’un jeune encore différent attendait dehors. Nous connaissions les hommes à femmes. Là nous avions donc une femme à hommes, et jeunes de préférence. Nous fîmes notre séance sans penser au reste. Sans penser à nos ex-copines. Le vendredi l’atelier put aller à son terme. Mais il ne donna rien de bon, elles faisaient des propositions qui n’étaient plus du tout en accord avec l’esprit du projet. Nous ne s’énervâmes pas mais nous n’avançâmes pas des masses.
* * *
Cette nouvelle semaine ne commença pas dans la joie. Je ne ...