Pauline. Chapitre I Born again.
Datte: 13/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Iovan, Source: Hds
... sait ce que lui demande sa belle maîtresse et cela l'excite au plus haut point. Elle y a pensé, d'elle-même, quand elle a vu sa belle chérie jouir de prendre ses quatre doigts.
Elle se redresse, se positionne entre les jambes offertes de la belle Rachel qu'elle n'a pas quitté de son regard qui se fait dominateur. Rachel qui l'implore et la supplie.
— Ooh... ! Viens... ma belle... Prends moi... ! Je t'en prie, oh ! Ta main... Chérie...Encore !
Pauline se penche et embrasse et lèche le haut des cuisses et la belle chatte inondée de désir, mordille la jolie framboise turgide, faisant gémir son amour. Puis elle réunit ses doigts en coupe et doucement les présente aux ourlets turgides du magnifique coquillage ruisselant. Doucement, délicatement, les écarte, pour faire pénétrer ses doigts, qui s'enfoncent dans la jolie chatte moelleuse, jusqu'aux dernières jointures. Le geignement que Rachel a commencé, s'achève en un feulement rauque, elle supplie :
—Encore, encore... ! Ooh Continue... !
Pauline pousse sur sa main trempée du désir de son amante, et lui imprime de lents mouvements de rotation. Rachel hurle de jouissance et de douleur et agrippant l'avant-bras de son aimée, pousse encore la main sur son sanctuaire violenté, elle se tord sous la brutale caresse et supplie sa maîtresse de ne pas s'arrêter. Pauline, elle, dents serrées dans un rictus lascif de frénésie érotique, vrille lentement et fortement sa main, distendant la jolie chatte inondée de mouille, de ...
... sa belle amante. Elle est fascinée, ses yeux sont fixés sur la lente progression de sa main, qu'elle continue à vriller doucement , donnant maintenant de légers à-coups, qui font trembler les râles que profère sa belle proie.
La belle Rachel n'est plus qu'une longue plainte, de douleur et de volupté lascive, qu'elle décline sur tous les modes, du geignement, au sanglot, du râle au hurlement. Elle a saisi ses cuisses, qu'elle écarte largement, sur lesquelles elle tire, de ses mains, se tend, s'arque et se cambre dans un effort luxurieux, pour accepter la main adorée, dispensatrice de l'odieuse et ineffable caresse.
Alors, vaincue, Rachel s'ouvre dans un hurlement, où se fondent douleur, et volupté indicible, alors que se mêlant à son cri, le cri de surprise et de triomphe de Pauline, lui fait écho, quand elle sent sa main s'enfoncer toute entière dans le sanctuaire béni de son Adorée.
Rachel est tétanisée de jouissance, clouée au lit de souffrance et de joie, elle ne peut arrêter les gémissements incoercibles, les tremblements convulsifs qui l'agitent et disent l'intensité du plaisir qui la foudroie. Pauline ne bouge pas, garde sa main dans l'écrin de douceur. Lentement, avec d'infinies précautions elle s'est penchée sur son bel amour, dont les gémissements continus l'émeuvent. Elle approche sa bouche du tendre bourgeon de sa belle, et, doucement l'effleure de ses lèvres, de sa langue, le lèche, et le suce, y goûtant, une fois encore, le nectar du plaisir de sa belle ...