1. Jeux Très Privés (1)


    Datte: 12/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: jdipanon, Source: Xstory

    ... abandonnée, satisfaits de leur plaisir. Je repris doucement mes esprits. J’entendais leurs voix résonner dans le Jaccuzzi où ils s’étaient installés, se gargarisant de leurs performances. Après une dizaine de minutes de paix, la voix de mon Maître me tira de ma torpeur :
    
    — Guette ça Carlo, Stéph n’a pas mis au fond, ma salope coule de la chatte... ça va salir la serviette... faut arranger ça.
    
    Mon mari n’avait pas son pareil pour relancer le rythme. Je commençais à repérer cette expression comme un rituel lorsqu’il voulait raviver son excitation, cette demande de me voir saillie par un inconnu était de nature à le faire jouir sans même se toucher.
    
    — Merci Yann, je passe mon tour, j’irai après Matt, il faut qu’elle aille crescendo la petite !
    
    — Prétentieux, répondit Matt, ce n’est pas la taille mais l’habileté qui compte !
    
    A présent, le puzzle était complet : Carlo était le big gland, Matt l’adorable queue soyeuse, et Stéph la bite de cheval.
    
    J’entendis du mouvement, et en relevant la tête, je vis Matt se diriger près de moi. Il reprenait vite ses esprits celui-ci...
    
    — Alors ma belle, voyons si je peux encore sauver cette serviette... suce-moi un peu.
    
    Je lui lâchai mécaniquement un sourire, autorisation pour un tour gratuit. J’accueillis avec le même plaisir son gland dans ma bouche, il était chaud et mouillé du passage dans le SPA. Tournoyant la langue autour, je le flattais en succions, sentant rapidement la vigueur revenir, jusqu’à ne plus pouvoir ...
    ... le contenir complètement dans ma bouche.
    
    Il se retira et fit courir ses mains sur mes seins puis mon ventre en me contournant avant de se présenter entre mes cuisses. Je sentis sa queue bien dure s’enfoncer dans le sillon de mes fesses, puis remonter sur mon pubis.
    
    — Désolé Yann, je crains qu’il soit trop tard pour la serviette...
    
    — Stéph, tu travailles comme un porc, je vais devoir remettre ton foutre au fond de sa chatte.
    
    — Fais pas le difficile, t’aimes ça les salopes pleines de foutre, lui rétorqua le blond.
    
    Joignant son geste à la parole, il me pénétra et se coucha sur moi. Mon beau brun aux yeux noirs me plaisait, je lui aurais tout passé. Il prit ma nuque dans ses mains pour joindre ma bouche à la sienne. Je répondis à son baiser et nos langues se rencontrèrent dans une valse baveuse. Sa bouche était chaude, et sa salive avait un « goût d’amour », goût inqualifiable qui enivre et crée ma dépendance, mon envie de sexe. Après la douceur de ce moment, il reposa ma tête sur la serviette et attrapa fermement mes épaules. J’étais ouverte, dans l’attente d’un prévisible moment de baise romantique, quand subitement, il engagea une série de coups de reins rapides et violents. Matt cachait bien son jeu, c’était un baiseur ; un marteau piqueur qui bourrinait comme une machine. Très vite, je sentis la douleur venir du Mont de Vénus qu’il frappait à chaque assaut. Les séquences duraient une éternité, ponctuées d’une dizaine de secondes de répit pendant lesquelles il ...
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