1. Moi paysanne maîtresse du sexe (10)


    Datte: 11/01/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... de Nancy et Britney.
    
    — C’est quoi que tu sois sur tes tissus ?
    
    — Tu appelles ça tes menstrues, c’est ça, un autre nom.
    
    — Mais ça vient d’où ce nom ?
    
    — Je ne sais pas, peut-être parce que pendant cette période, on met des tissus dans sa culotte pour absorber le sang. C’est le seul moment où je porte une culotte fermée comme toi d’ailleurs.
    
    — C’est un peu bizarre d’avoir donné ce nom.
    
    — Oui ma chérie, c’est anglais !!
    
    — Et tu les auras bientôt, je crois ?
    
    — Oui, peut-être demain ou après-demain, je commence à avoir mal en bas du ventre.
    
    — Très bien, maintenant, il faut dormir.
    
    — Viens dans mes bras mon amour.
    
    Je me blottis dans ses bras, nous nous endormons rapidement.
    
    Deux jours plus tard, Charlotte a ses menstrues, la journée se passe relativement bien, maintenant, nous avons chacune notre travail, je gère le fonctionnement du château, les approvisionnements, la gestion du jardin, de la volaille et des quatre vaches pour le lait, et ce n’est pas une tâche facile. Charlotte gère les finances et la gestion des alentours du château, l’exploitation des bois, les cultures, c’est un immense domaine et elle a aussi un énorme travail. Nous nous retrouvons aux repas. Le soir, après le bain, les filles nous quittent avec leurs baisers rituels. Charlotte sort le consolateur, elle me le tend. Elle se caresse en se titillant le clitoris avec son majeur, je vois qu’elle sécrète un peu de cyprine, elle est assez lubrifiée pour que je glisse l’engin ...
    ... dans son vagin. Je le présente à l’entrée et pousse un peu. Il écarte les lèvres en s’enfonçant lentement.
    
    — Ah oui, je dois dire que pour l’instant ce n’est pas désagréable.
    
    Au bout d’un moment, je sens une résistance, j’hésite, je sais qu’elle va avoir très mal, je suis passée par là. Elle écarte ma main, se saisit du manche du consolateur et se l’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles. Son visage se crispe, elle a très mal, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle le laisse enfoncé dans son sexe un long moment. Elle commence des aller-retour, elle me regarde, elle est crispée.
    
    — Allez, vas-y, fais-moi l’amour avec cet engin du diable.
    
    Je me saisis du manche et commence des aller-retour lents et amples, mais je vois qu’elle a très mal, elle n’arrête pas de grimacer, je sens que ça devient insupportable pour elle. J’arrête et sors le consolateur.
    
    — Inutile de te dégouter, je vois que tu as très mal, je ne veux pas continuer comme ça, attendons que tu sois remise du déchirement de ton hymen.
    
    — Tu as raison ma chérie, mais si tu veux, je veux bien m’occuper de toi.
    
    — Non, si tu ne peux pas, je ne le fais pas, on l’utilisera ensemble.
    
    — Très bien mon amour, viens dans mes bras, j’ai envie de te sentir contre moi, j’ai mal, mais je ne regrette pas, maintenant, je suis comme si j’avais moi-même fait Alice, comme toi mon amour.
    
    — D’abord, nettoyer cet engin diabolique.
    
    Je vais rincer l’engin, l’essuyer et le ranger. Je me glisse dans le lit pour me ...
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