Chroniques d'un jeune de 25 ans addict au sexe - 1 (1)
Datte: 11/01/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: jeune25, Source: Xstory
... un ami à lui qui aime les jeunes, mais qui présente l’avantage d’habiter à quelques rames de métro de chez moi.
C a 66 ans, passif lui aussi, et très très salope. En clair, il aime les queues de jeune mâle, aime le sperme, se faire insulter et baiser comme il se doit. J me file le numéro de C (vous suivez ??) et je commence à converser avec lui. Au lieu d’un simple "cc on se voit ?" (trop fréquent dans le milieu homo...), il me fait la conversation, ce qui est fort appréciable. On en vient rapidement à parler de sexe, ce que j’aime, de ce qu’il aime.
Il veut me voir rapidement. Moi aussi. Je décide donc, un vendredi, après les cours, d’aller chez lui.
Il habite au 8e, en plein centre, dans un joli bâtiment. J’ai la boule au ventre, la pression, je me demande si c’est une bonne idée. J’arrive, je toque, il ouvre. C a 66 ans, 1m80 je dirai, 110 kilos, une bonne brioche, un sourire rassurant, et un regard lubrique. Tout ce que j’aime. On s’embrasse directement. Cette tension sexuelle fut incroyable, je m’en rappelle encore, c’est vous dire. Il me sert à boire, et remarque mon entre-jambes gonflé par l’excitation.
— Tu dois être à l’étroit dans ton slim !
Il m’amène dans sa chambre. M’allonge, il fait de même. Commence alors la rondade de nos langues. J’adore embrasser, lui aussi, alors on ne fait que ça pendant une dizaine de minutes, sa langue contre la mienne. Puis ses mains s’attardent sur mon corps, les miennes aussi, j’adore sa bedaine, ses poils, son côté ...
... gros ours pervers. Il m’ôte mon caleçon, puis avale directement mon sexe jusqu’à la garde. Je, surpris, lâche un gros gémissement. Ce fut l’une des meilleures pipes de ma vie, avalant sans sourciller mon sexe de 17 centimètres. Je tente de lui rendre l’appareil, mais il n’aime pas être sucé. J’apprendrai plus tard qu’il ne peut plus bander.
Il cesse alors sa gâterie, et se met à 4 pattes, me demandant de le baiser. Je m’exécute, j’enfile le petit costume de latex (une capote quoi), et je le pénètre sans lubrification autre que ma salive. Il est bien ouvert, il a l’habitude, ça m’excite. Je commence à l’insulter, à le fesser. Je baise son cul de salope sans ménagement, et il gémit comme une petite pute. Il raffole de ma queue qui sort et entre sans problème de son cul de salope. Je le baise comme ça pendant une dizaine de minutes, avant de switcher en missionnaire. Le fait de le voir gémir sur chacun de mes coups de queue m’excite terriblement.
Je me demande encore comment est-ce que j’ai fait pour tenir autant de temps. Qu’importe. Au bout de 10 minutes en missionnaire, je le préviens que je vais jouir, il me supplie de tout envoyer sur son visage. Je me retire tant bien que mal, ôte la capote, et déverse ma semence sur sa gueule de salope, ravi de recevoir du sperme bien chaud. Il finit par me nettoyer la queue et m’indiquer la direction des toilettes.
Je baiserai avec C pendant deux ans, avant qu’il connaisse des problèmes de santé. Aujourd’hui, nous sommes toujours ...