1. Mardi 11 novembre 1981


    Datte: 10/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    Avant propos
    
    Cher lecteur, Lors de ma dernière publication, « Mardi 27 octobre 1981 », faite le 27 mai 2021 sous mon pseudonyme « Maceron » j’ai fait une mauvaise manip.
    
    Mon contact avec « Maceron » n’a plus pu se faire et Monsieur HDS, n’a rien fait pour me permettre de me rebrancher
    
    ***** Réponse HDS : Désolé mais nous avons bien répondu à votre demande par mail ! Il semble que vous fassiez la confusion entre votre login (qui est votre adresse mail) et votre pseudo...*****
    
    Pour continuer à publier j’ai donc du changer de pseudonyme c’est pour ça que je suis devenu Maceran.
    
    A bientôt
    
    Maceran
    
    Mardi 11 novembre 1981
    
    Dans la matinée, j’étais allé voir un transporteur, ce qui me faisait passer pas loin du magasin de Véro. Je décidais de m’arrêter pour lui faire un petit bonjour. Sitôt arrivé au secrétariat, je fus introduit dans le bureau de Véro. Elle se leva pour un gentil baiser. Des lèvres je descendis le long du cou et écartant légèrement le décolleté j’arrivais sur la gorge, ouvrant son décolleté et commençant à m’intéresser à sa jolie poitrine. Là, Véro m’arrêta : « Non, … fais doucement, … ils sont très sensibles, …comme dirais mon distingué mari, … c’est ma période, du mois, ou je suis inutilisable, … »
    
    Moi : « Désolé, … je ne savais pas, … »
    
    Véro : « Ce n’est pas grave, … tu peux t’en occuper, … mais en faisant doucement, … même dans ces moments là, j’aime qu’on s’en occupe, … en faisant attention, … » Etant là, je ne pouvais ...
    ... quand même pas même pas m’en aller avec un bonsoir, je reviendrais dans quelques jours, cela aurait grossier et d’un très mauvais goût. Elle avait malgré tout son soutien gorge quart de bonnets, ce qui me laissait la possibilité de m’occuper avec attention et douceur, de ces belles choses. Ce que je fis et il sembla que le traitement appliqué, fut apprécié par la propriétaire. Puisque qu’elle avait pris la situation en, réellement, main me proposant ses seins, l’un après l’autre et pour recommencer. Ce petit jeu dura un certain temps, puis tout à coup, se collant à moi brutalement :
    
    Véro : « Embrasses moi, … j’en ai envie, … et puis il faut que je finisse ce que je n’ai pas fini samedi, …» ce qu’elle fit, ce fut goulu, elle se laissa glisser à terre et défaisant mon short, sorti mon engin qui ne demandait que ça et sans hésiter le lécha à grands coups de langue et prit en bouche le gland pour le sucer, les lèvres douces et la langue pointue, je bandais dur, estimant que la dureté était à son goût elle commença à me pomper d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Il ne lui fallut que peu de temps pour faire monter la pression et je la prévins que j’allais exploser. Elle sera son emprise sur ma bite et pratiquement instantanément, une grande giclée remplit sa bouche. Elle se releva, se collant contre moi : « Allez, files, … on se revoit samedi, … » Le temps d’occupation de son bureau risquait d’entraîner des réflexions ou des pensées désagréables, et je filais ...
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