1. Liberté (une nouvelle journée de la jupe) (5)


    Datte: 10/01/2023, Catégories: Transexuels Auteur: pauline69, Source: Xstory

    ... suis complément à sa merci, mon sperme envahit sa gorge.
    
    Elle vient se replacer face à moi, nos jambes sont entremêlées, son clitoris vient se frotter sur mes bourses, je vais pour bouger, elle me fait signe de rester statique, elle se masturbe sur moi, je la laisse faire même si ce n’est pas très plaisant, après ce qu’elle m’a fait, je ne peux pas lui refuser cela.
    
    Plaisir terminé, elle sort de la baignoire, la salle de bain est petite, aussi je reste dans l’eau en attendant qu’elle se sèche.
    
    Je trouve ça beau de regarder le mouvement de sa tête, de ses cheveux avec la serviette, puis toutes ses caresses sur son corps avec ce tissu. Grâce au reflet du miroir, elle voit que j’apprécie le spectacle.
    
    — Bon t’as fini de mater, je sors chercher mes fringues, je te ramène les tiennes ?
    
    — Si tu veux, mais au fait félicitations, quel souffle ! quelle apnée !
    
    — 10 ans de compét. de piscine, ça laisse des traces.
    
    Elle revient habillée avec mes fringues sous le bras qu’elle pose sur le banc. Je végète toujours dans l’eau. Elle se passe un coup de sèche-cheveux puis se maquille et ça lui va bien.
    
    — C’est bien que tu prennes goût à te maquiller, c’est top, tu es belle comme cela.
    
    — Je te le laisse sorti (en me montrant le mascara)
    
    Elle quitte la pièce, je sors et m’essuie, Stéphanie me parle, je n’entends pas, l’eau partant dans le siphon, cela fait un bruit infernal.
    
    Bon, je devine ce qu’elle m’a dit, enfin, j’ai compris en attrapant les fringues : ...
    ... culotte, jupe, caraco, collant, pull, je m’exécute puis j’applique le crayon et le mascara après m’avoir mis un léger fond de teint. J’aime bien me maquiller, plus le moment que le résultat.
    
    J’ouvre la porte pour faire évacuer la buée, je vois que mes derbies m’attendent, c’est donc rehaussé de 5 centimètres que je rejoins Stéphanie qui m’accueille en me tendant un café et un bisou sur la joue.
    
    — Ça te va vraiment bien cette tenue et en plus on te sent à l’aise !
    
    — Je suis obligé de reconnaître que oui.
    
    — Bon il fait faim, déjà presque 2 heures de l’après-midi et si on se faisait un kebab, le camion de Kader doit être ouvert sur le parking près de la gare.
    
    — Pourquoi je te le paye, tiens je te donne de l’argent.
    
    — Non, viens avec moi !
    
    — J’aurais pas dû mettre cette tenue alors.
    
    — Mais si et même si les gens te voient, ce sera fait et comme cela tu ne te poseras plus de question quand tu auras envie de mettre des jupes ou robes.
    
    Nous partons et marchons rapidement, nos estomacs crient famine. La vitesse et un petit air font flotter nos jupes, c’est plutôt agréable. Ca fait plusieurs fois que je me fais la remarque sur le plaisir des courants d’air sous les jupes ou les robes, j’en parle à ma binôme qui n’y trouve rien d’extraordinaire bien au contraire, elle trouve cela plutôt pénible. Nous croisons du monde, c’est la fin du marché sur une place non loin, je suis repéré à de nombreuses reprises, je provoque pas mal de sourires et quelques yeux qui se ...