1. De belles vacances (2)


    Datte: 09/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: shadowman, Source: Xstory

    ... principal autant que la pénétration.
    
    Je l’embrasse tendrement, nos langues viennent se coller, s’enlacent, se mettent à danser ensemble. Je lâche sa bouche et viens lui embrasser le cou, le lui dévore. J’aime le goût de sa peau, le parfum de son corps. Pendant que je lui mange le cou, une de mes mains se pose sur un de ses seins et vient le masser. Ma main le fait tourner, puis vient se resserrer sur son téton et le pincer, ce qui lui fait pousser un gémissement aigu qui veut tout dire.
    
    Je fais rouler son téton entre mes doigts puis le lâche. Je remonte son t-shirt avec ma main jusqu’au-dessus de sa poitrine. Maintenant que j’y ai accès, je descends ma tête vers ses seins en l’embrassant tout le long du chemin. Arrivé à son téton gauche, je le fais rouler entre mes dents.
    
    — Ho oui vas-y, continue de jouer avec. J’adore ce que tu me fais mon petit cochon.
    
    Boosté par ces mots, je lui pince le téton entre mes dents, le titille du bout de ma langue, le tète. Pendant ce temps, ma main s’occupe de son autre sein, masse cette petite boule, joue également avec ...
    ... son téton.
    
    J’inverse, m’occupe de son sein droit avec ma bouche pendant que ma main s’occupe de la gauche. Sa respiration et forte, saccadée, je sens son plaisir me transporter, j’aime qu’une femme prenne du plaisir. J’arrête de jouer avec ses seins, remonte et viens l’embrasser.
    
    Nous échangeons un chaud baiser avant qu’elle me dise :
    
    — C’est déjà fini ? Mes seins sont tristes.
    
    — Ça ne fait que commencer Princesse.
    
    Je l’embrasse de nouveau, nous nous roulons une bonne pelle avant que je reparte en expédition en faisant toujours des baisers tout le long. Me voilà en train de descendre dans sa gorge, j’arrive aux petites collines jumelles, m’arrête un peu pour goûter aux fruits de cette contrée, puis repars vers ce désert blanc appelé ventre, plat, avec juste une petite oasis au milieu dans lequel ma langue va se baigner. Je repars après m’être rafraîchi pour cette contrée lointaine qui est un paradis de ce que l’on me dit. Je sens l’odeur de ce paradis dans l’air pendant que j’avance dans les broussailles entretenues en ticket de métro du mont pubis. 
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