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Un été chez mon oncle Daniel (1)
Datte: 08/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: web8464, Source: Xstory
... abondante coulait de mon vagin, inondant la bite de mon mari et mon entrecuisse. Les allées et venues de cette bite dans ma chatte étaient un délicieux plaisir. Au bout d’un moment, il se retira. Je l’entendais derrière moi, farfouillais dans le potager puis soudain, je sentais contre mon vagin quelque chose de gros et frais. — mmmm qu’est-ce que c’est mon chéri ? — Je t’ai ramassé un joli concombre, je vais te goder avec. — Oh mon salop, vas-y doucement, mais je le veux avec plaisir. Mon vagin s’est dilaté et j’ai senti le large concombre me pénétrer. Un cri aigu de plaisir a retenti dans le potager, je prenais un plaisir immense. Mon mari me godait avec ce concombre et j’aimais cela. Mes gémissements et mes cris étaient de plus en plus prononcés, je sentais la jouissance monter en moi. — mmmm attends, je vais jouir c’est trop bon. Sylvain n’arrêtait pas, il prenait un malin plaisir à me branler avec le concombre et me voir dans tous mes états. — Jouis ma chérie, si tu en as envie comme ça. Je ne m’étais pas fait prier, quelques secondes plus tard, une explosion dans mon bas-ventre accompagnait mon cri de plaisir. Quand mon mari retira le concombre, toute ma mouille et ma jouissance explosèrent hors de moi. Cela dégoulinait. Rien que d’y repenser, ma chatte en est trempée. Debout contre le mur, j’écartais mes fesses avec mes mains pour offrir mes trous à mon mari. — Mmmm je vais te prendre la chatte et ensuite je te sodomiserai mon ...
... amour. Sylvain me baisait à présent debout et à chaque coup de bite, de la mouille et de ma jouissance giclait de mon vagin, aspergeant nos cuisses, mes fesses et son bas-ventre. C’est à ce moment-là que j’aperçus à quelques mètres, trois rangées plus loin une ombre qui n’était autre que mon oncle. Je restais figée comme prise de panique, impossible de bouger. Juste la capacité de chuchoter à mon mari : — Merde, il y a mon oncle qui nous mate. — Où ? Je ne le vois pas, tu es sure. — Sur ta gauche près du figuier. Je m’attendais à ce que mon mari se retire et j’étais prête à me rhabiller rapidement. D’autant que mon oncle, certainement gêné d’être démasqué, avait reculé de quelques pas, prêt à partir. Mais il n’en fut rien. Sylvain continua à me baiser en accentuant les regards vers mon oncle comme pour lui signifier que nous l’avions vu et qu’il ne dérangeait pas. Les sentiments se mélangeaient en moi, j’étais prise de honte et très gênée, mais à la fois excitée par la situation. Nous pratiquons le nudisme l’été et cela ne me dérange pas de me faire mater j’avoue, mais là par mon oncle et en train de baiser quand même. Et mon mari qui continuait à me prendre avec plaisir, à me caresser les seins. Sylvain prit la parole le premier. — Cela te plaît, ça t’excites Delphine ? Sinon on arrête et tu te rhabilles vite. Que faire, arrêter, continuer ? Je regardais mon oncle se caresser la bite. Elle n’était pas très longue, mais elle avait l’air bien large et ...