1. Nymphomane moi ? Tome I (8)


    Datte: 08/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... moi, les jambes de chaque côté du corps du vieil homme qui me besognait toujours. J’espérai que sa bite serait du même calibre que celles des noirs qui m’avaient baisée jusqu’à présent. Je ne fus pas déçue lorsqu’il abaissa son short, elle était dans la norme.
    
    Il me la présenta, je mis son gland presque rose dans ma bouche et commençai à le sucer. Je le branlai en même temps, la grosse bite noire ne mit pas longtemps à prendre sa taille maximale. Elle était plus longue que mes deux mains. Mes doigts faisaient tout juste le tour de la circonférence.
    
    Une fois qu’elle eut atteint son apogée, le grand noir passa derrière moi, il se mit à genoux, il me fit pencher en avant sur le torse du vieux, celui-ci en profita pour me tenir la tête et m’enfourna sa langue dans la bouche, je lui rendis son baiser.
    
    Ayant dégagé mon anus, le noir y mit deux doigts, il cracha entre mes fesses et fit pénétrer avec ses deux doigts la salive dans mon orifice anal. Il approcha son gland, et pénétra l’anus offert, je criai de plaisir en sentant cette grosse bite noire s’enfoncer en moi. Il se retint, croyant m’avoir fait mal. Je lui criai de me sodomiser avec plus de vigueur, et plus profondément, que j’aimais vraiment ça et que je raffolais des grosses queues noires comme la sienne. C’en était trop pour le vieux, je sentis les contractions de sa verge au fond de mon vagin, et l’écoulement de son sperme chaud. Il me criait à chaque giclée de sa semence :
    
    — Tiens prends ça, salope, encore ...
    ... ça, encore, encore... putain que c’est bon. Il y a longtemps que je voulais éjaculer dans ta chatte... tu me rendais fou de désir... tiens, tiens.
    
    Une fois son éjaculation terminée, il ne put pas sortir de sous mes jambes, le grand noir pesant de tout son poids et me tenant fermement aux hanches, sa bite restait prisonnière de ma chatte, ce qui n’était pas pour me déplaire...
    
    Mon voisin noir, de plus en plus excité par mes demandes et mes cris de plaisir, me labourait l’orifice anal sans ménagement à grands coups de reins, son énorme phallus entra et sortit de mon anus béant à une allure phénoménale. Je n’avais jamais connu une telle vitesse de pénétration, je crus me faire prendre par un marteau pilon. Mon plaisir monta lentement, mais je me retins le plus longtemps possible.
    
    Mais lorsqu’il me renversa la tête vers lui, et enfourna sa grosse langue dans ma bouche, en me prodiguant un baiser fabuleux, quand je sentis les énormes soubresauts de la bite qui vidait sa semence au fond de son ventre, j’ explosai, je criai ma jouissance. Je m’écroulai sur le torse du vieux, qui en profita pour me donner un autre baiser. Le phallus du noir toujours dans mon orifice anal, je me reculai et léchai la queue du vieil homme comme pour la nettoyer du sperme et du foutre qui la poissait. Celui-ci trembla de plaisir. Je me retournai et fis subir le même traitement à la grosse bite noire, qui pendait maintenant entre les cuisses musclées.
    
    Puis, pour se rafraîchir, tout le monde ...
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