Cohésion d'entreprise (12)
Datte: 08/01/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Mlle_Helened, Source: Xstory
— Merci ma chérie pour ce week-end. Grâce à toi, j’ai découvert de nouveaux plaisirs.
— Comment ça ? dis-je, faussement naïf.
— Ne me prends pas pour une idiote ! Sandrine m’a tout raconté de vos manigances. Et honni soit qui manigance ! comme dirait l’autre. Ça mérite punition ! Tiens, va préparer ton petit trou.
Elle me sodomisa copieusement. La punition n’en était pas vraiment une.
Nous reprîmes le travail. J’appréciai de plus en plus ces tenues légères. Mes petits seins pouvaient se passer de soutien. Et à part un string minimaliste, j’étais presque à poil. Le pied intégral par rapport à mes tenues de garçon d’avant.
Août arriva enfin. Samantha fermait sa petite entreprise. De toute façon, tout le monde était en vacances.
Elodie me proposa de partir là où elle avait l’habitude d’aller, c’est-à-dire à Montalivet, chez les naturistes. L’idée ne me déplaisait pas, bien au contraire. Mais même si les nudistes étaient plutôt ouverts d’esprit, cela n’autorisait pas tout. Et mon état intermédiaire pourrait déranger, voire choquer.
On oublia donc Montalivet pour louer une petite maison dans un village à l’intérieur des terres. La seule prestation était un jardin privatif bordé de hauts thuyas qui nous laissait une certaine intimité. L’océan n’était à quelques kilomètres, au bout d’un chemin qui traversait les pins. Le prix élevé nous ne permettait pas de louer plus qu’une semaine. Mais c’était déjà bien.
Semaine idyllique. Sea, sun and sex !
Nous ...
... tentâmes quand même une journée sur une plage naturiste. Je mentirais si je disais que personne ne fit attention à moi. Mais je n’eus aucune remarque désobligeante. Quelques rires moqueurs tout au plus.
Si j’avais l’habitude de me balader nue chez moi, l’être en pleine nature était une expérience fabuleuse. Je me sentais déjà libre sous une simple robe, mais sans rien du tout, ce sentiment de liberté était total.
— Trop bien de vivre tout nu ! dis-je à Elodie. Ça serait bien si on pouvait louer dans ton camp l’an prochain.
— Oui, c’est clair. Faudra qu’on se renseigne.
La semaine se terminait lorsqu’on sonna à la porte de notre location. Je nouai rapidement un paréo autour de mon corps et allai ouvrir. Je reconnus la propriétaire.
— Bonsoir les amoureuses ! dit-elle.
Bien que d’un certain âge, elle n’avait fait aucun commentaire sur le fait que deux femmes louent sa maisonnette. On l’avait invitée, elle et son mari, pour un apéro et faire connaissance. On discutait parfois si l’on se croisait dans le village. Sans être une super copine, elle restait une bonne amie.
— J’ai une proposition à vous faire, annonça-t-elle.
— Oh, oh ! répliquai-je, un brin coquine.
— Voilà, continua-t-elle en m’ignorant. Les locataires qui devaient vous remplacer se sont désistés. Alors, si vous êtes d’accord et si vous le pouvez, je vous propose de rester une semaine de plus à moitié prix.
Le deal était sympa. Tout le monde y gagnait. Nous une semaine de plus à moindres ...