1. Le piège. (2)


    Datte: 08/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... lingerie !
    
    — Tu me montres par webcam ?
    
    — Non, impossible ce soir !
    
    — J’aurais aimé me branler en matant tes jambes.
    
    — Un autre soir peut-être.
    
    Notre conversation se poursuit pendant une bonne demi-heure et je me prends en jeu de lui répondre comme si j’étais vraiment une femme. Il me déclare être un fétichiste des tenues sexy et de la belle lingerie. Mais son problème est qu’il n’arrive jamais à concrétiser avec les personnes avec qui il discute sur le site. Il m’avoue, un peu gêné, que deux ou trois fois il s’est laissé aller à rencontrer des travestis et que cela lui avait permis de combler ses envies. De mon côté, je lui dis que je viens juste de m’inscrire et que pour l’instant je ne recherche aucune rencontre.
    
    Après m’être déconnecté, je vais dans la chambre de ma mère pour ranger dans son armoire les fringues empruntées. Alors que j’ai retiré et rangé le tailleur, je m’allonge sur son lit et j’entrouvre le body rouge à l’entrejambe de manière à me masturber tout en me caressant les cuisses. Le souvenir de notre conversation érotique sur internet, le contact du tissu sur la pointe de mes seins et le doux contact de la soie sous ma main m’excitent au plus haut point et je jouis longuement en pensant que c’est Jean75 qui est en train de me caresser et de me branler.
    
    En rangeant le body et les bas, je découvre que ma mère a caché un petit coffre au fond de son armoire. Je le sors, le pose sur le lit et tente de l’ouvrir, mais c’est impossible, car il ...
    ... est fermé par un petit cadenas. Je ne vais tout de même pas forcer la serrure, car ma mère s’en apercevrait immanquablement. Je fonce alors dans ma chambre, prends mon téléphone portable et je reviens faire une photo de cadenas. Si je pouvais en acheter un qui lui ressemble, je pourrais peut-être adapter la clé pour ouvrir celui-ci. Comme la fois précédente, je remets tout en ordre.
    
    Le lendemain est un samedi et je peux faire la grasse matinée. C’est d’autant plus nécessaire que mes recherches et discussions sur internet suivies de plusieurs masturbations nocturnes m’ont tenu éveillé fort tard.
    
    C’est ma mère qui me réveille en entrant dans ma chambre et en ouvrant mes rideaux.
    
    — David, tu devrais être levé depuis déjà un bon moment. Tu as vu l’heure ?
    
    Je me justifie comme je peux.
    
    — J’ai regardé un bon film à la télévision puis j’ai débuté la lecture d’un ouvrage de Raymond Aron sur lequel nous devons faire une fiche de lecture détaillée.
    
    Elle poursuit de son côté.
    
    — Ta chambre sent le fauve, aère pendant que je prends ma douche. La nuit a été harassante !
    
    Je me lève avec lenteur, m’habille, range mon bazar et ouvre en grand la fenêtre. Ma mère est déjà sortie de la douche, je l’entends dans sa chambre en face de la mienne. Par le jeu des différents miroirs, celui de mon armoire et celui de sa coiffeuse, je l’aperçois de dos debout près de son lit. Elle retire son peignoir et je peux alors voir ses fesses bien dessinées. Ses cheveux châtains mi-longs ...