Samedi 27 novembre 1981 - soirée
Datte: 07/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... humide. Ayant posé sur son minou et en commençant de la caresser, je pressentais que le dernier obstacle, mentale, serait passé. Et c’est ce qui arriva avec un dernier essai d’AL : « Non, … arrêtes, … non, … oui, … tu as gagné, … prends moi, … j’en ai envie, … oui, … » Pour la maintenir dans cette bonne disposition deux doigts inquisiteurs la pénétrèrent entrainant une ouverture du compas de ses cuisses, et un léger avancement de son bassin, ce qui me facilita la tâche et m’apportait son accord. Je la masturbais légèrement afin de la chauffer un peu plus, ce qui arriva par « : « Arrêtes, … prends moi, … comme tu veux, … arrêtes ce jeux, … prends moi, … » Alors que je lui disais de prendre appui sur les dossiers des sièges avant et de m’enjamber, je me défaisais rapidement et « popol » jaillit fier et dur. Elle le sentit dans ses fesses et le prenant en main, elle se redressa et le mit là, dans sa chatte. Alors, elle s’empala dessus, le faisant pénétrer doucement dans son fourreau, et quand il fut bien enfoncé, cramponné aux dossiers, elle commença à monter et descendre, l’enfonçant toujours complètement dans sa chatte : « Oui, … j’aime que tu me prennes comme ça, … je te sens me remplir, … ne t’arrêtes pas, … » en fait, elle faisait tout le travail et à son propre rythme. L’avantage de cette position, c’est au je pouvais m’occuper avec précision de ses seins et surtout de tenir, pincer, rouler ses tétons qui pointaient furieusement. Il ne me fallut peu de temps pour sentir ...
... que j’étais prêt de l’explosion et de ne pouvoir me retenir et au moment où je lâchais tout mon plaisir, elle aussi était arrivée au moment où elle se contracta, levant les jambes de façon à se planter au maximum dans le pieux qu’était à ce moment « popol » et qui fit que je remplissais sa chatte. Elle lâcha prise et s’appuyant sur les dossiers, reprit son souffle. Et se dégageant de sa position devenue inconfortable elle se retourna contre moi, avec les mots qui font plaisir : « Tu es content de toi, … tu as réussi, … à ce que je cède, une fois de plus, … tu es vraiment horrible, … quand je pense qu’on aurait pu faire ça à la maison, … non monsieur veut me prendre sur un parking, … non seulement tu es un horrible, mais un monstre, … et moi, … je subis, … on rentre à la maison,… » et ce que nous fîmes tranquillement, l’esprit et les sens apaisés. Elle avait rapidement rabattu les pas de sa robe, en fait le haut était plus ou moins fermé, quand au bas il était plus ou mois ouvert, plutôt plus que moins, ce qui m’incita à poser ma main sur sa cuisse, erreur, les cuisses se refermèrent, les pans de la robe rabattu et : « Arrêtes de faire l’imbécile, … fais attention, et conduis correctement. Tu sais qu’ils conduisent comme des fous la nuit, … »
Arrivés, je garais le 4*4 et rentrais. AL avait filé vers la salle de bains et je trouvais, jeté négligemment sur le dos d’un fauteuil, sa robe. Je me dirigeais vers la chambre et me couchais, un petit quart d’heure après elle arriva, ...