Grand Noir Confus (3)
Datte: 06/01/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Naysayer44, Source: Xstory
... entièrement son sexe, le sentant s’enfoncer dans ma gorge, mon œsophage, mon corps, et venir jouir éjaculer - et même pisser s’il le souhaitait - directement dans mon estomac. Nourrir sa chose. Avec passion, m’injecter directement sa semence, son nectar épais, sa source vitale, dans mes entrailles.
Oh ce gland ! J’avais sauté dessus, mais mon cerveau avait photographié cette merveille en une fraction de seconde. Turgescent, un vrai bulbe floral, doux, incroyablement doux, presque étonnement duveteux, poli, j’y voyais le reflet de mes lèvres approcher. Et ce contact, cette entrée contre mes lèvres, cette pénétration en douceur, délicate, afin d’en saisir toutes les nuances, les goûts, odeurs, les tensions musculaires qui agitèrent le corps de ce Dieu Noir alors que son sexe pénétrait ma bouche. Quelle divine expérience. Oh comme je l’aurais sucé mon Dieu Noir. Oh comme je me serais offert entièrement à ses désirs, ses envies, ses fantasmes, même les plus extrêmes. L’esclave de sa bite était mon nouveau destin.
MAIS CET EMPLOYÉ RÉPUGNANT ÉTAIT DE RETOUR ! Maudit être ignoble.
On l’avait entendu crier dans le couloir, sa voix frêle et vide d’assurance grondant de plus en plus. Mélodie inaudible.
— bossss... Double Boss ?!?!
— Mais que fais-tu là ?!
— Là ?
— Là !
— Là comment ?
— Là enfin !
— Là dans l’encadrement de cette ...
... porte vous voulez dire ?
— Non sombre crétin ! Là ici alors que je t’ai explicitement demandé de retourner au travail.
— Mais je suis au travail.
— Tu es sur ton lieu de travail mais pas AU TRAVAIL. Ton travail est de tenir la caisse et servir les clients. Ici tu ne sers personne. Tu ne sers à personne. Tu m’embêtes ! Rrrah !
C’était reparti. En pivotant, le Grand Noir avait retiré son sexe de ma bouche, et il était brandit comme une épée menaçante vers cette souillure d’employé. Je comprenais son effroi.
— Je ne sais pas.
— Comment ne peux tu pas savoir pourquoi tu es là ?
— Là ?
— Oui là !
— La police est à l’entrée, il demande après le boss.
— La police ?
— La police. Oui. C’est... C’est une grosse matraque que vous avez là Boss.
Surpris d’avoir la bite à l’air, et honteux de la montrer si belle et dure devant ce moins que rien, le Grand Noir se détourna pour se rhabiller. Dans sa rotation, il me biffla violemment la joue, et parti voir ces foutus policiers, suivi de près pas l’employé moche.
Personne ne le vit, mais quand la pharamineuse bite de mon Dieu Noir me fouetta la joue, je jouis intensément dans mon pantalon.
Le temps de me remettre d’aplomb - un peu d’eau sur le visage - et je rejoignais les deux types, en restant dans le couloir, tendant l’oreille.
Les voix montaient, ça n’annonçait rien qui vaille.