Incestus autem Invictus (4-1) : Les vacances avec mon frère - Histoires de Sexe

Incestus autem Invictus (4-1) : Les vacances avec mon frère

... pourrai surement rien faire ? s’il était au courant de mon attirance pour lui, dans un moment d’égarement, il pourrait faire absolument tout ce qu’il veut, je n’arriverai jamais à l’en empêcher… je serai une proie complètement à sa merci. La seule chose que je serai capable de faire serait de crier. Et si jamais il aimait m’entendre crier ? ça lui donnerai peut-être encore plus de force et de courage…

« - Axel ? qu’est ce qui se passe ? répond moi !! »

je me réveil en sursaut après mettre pris la demi bouteille d’eau sur la tronche. Je m’aperçois qu’on est stopper sur une aire d’autoroute lui du côté passager à m’arroser avec une bouteille.

« - Putain axel j’ai eu peur. Tu as fait un malaise ou quoi ?? »

Oh oui j’ai fais un malaise, mais si tu savais… c’est absolument pas celui auquel tu penses…

« - Merci Romain, désolé, j’ai pas mangé ce matin… - Tiens, boit un peu d’eau. Tu veux te changer ?- Non non ça ira ça me refroidira comme ça »

Le T-shirt colle complètement à ma peau c’est désagréable, mais je pense que s’il pose encore une fois la main sur moi et m’aide à me déshabiller je pense que je finis à l’hôpital.

« - On va pisser et on se remet en route y’a encore pas mal de chemin »

Je me rend compte quel être pervers je deviens avec le temps et la frustration. Je choisis toujours une cabine fermée car je suis incapable de faire dans un urinoir. Evidement il choisi celle à coté de moi. Et vous ne saurez jamais ce qui m’a excité à ce moment là… ...

... L’intensité du bruit de son jet d’urine… Les yeux fermés je me suis mis à inventer une règle de proportionnalité entre l’intensité du bruit dans la cuvette avec ses mensurations. J’en venais à des conclusions astronomiques qui me faisaient rougir de honte. Quand je reprend mes esprits je me dis que je suis vraiment un malade de m’intéresser à ce genre de chose. Savoir si quand il pisse, il l’a sort entièrement même avec les boules, s’il a besoin de la tenir à deux mains etc… etc… J’ai envie de me frapper dans ces moments là !Vivement l’arrivée, qu’on retrouve ses potes et de faire en sorte que la semaine passe le plus rapidement possible.

De retour dans la voiture, je pretexte une mauvaise nuit de sommeil, je met le siège en position un peu plus allongée et je ferme les yeux de toute façon cachés par mes grosses lunettes de soleil. Et quand j’ouvre les yeux c’est seulement pour vérifier qu’il est toujours là et éveillé, j’ai une vue imprenable sur son épaule sillonnée de fibres musculaires saillantes et de ses trapèzes bien formés pour l’été. Son visage avait l’air triste et pensif. Mon comportement doit lui déplaire. Repousser des actes qui pour lui non jamais eu de connotation sexuelle, doit le mettre mal à l’aise. Cependant je ne peux lui avouer ce qui se passe dans ma tête de jeune adulte puceau… Ayant pitié de lui, feignant de dormir, je l’ai laissé reposer sa main droite sur mon genou sans rien dire.

Etrangement il n’a plus changé de vitesse après ça…

T’es débile ...