Les confessions de LaLupa, soumise sexuelle (2) - Histoires de Sexe

Les confessions de LaLupa, soumise sexuelle (2)

... technique qui porte le joli nom de « feuille de rose »... enfin bon... Il ne faut pas se mentir, aller mettre sa langue dans une fente et dans un trou du cul, il y a plus sexy pour fantasmer. Puis moi et mon nez hyper-sensible... si ça sent mauvais... je ne peux pas !

Puis arrive l’obsession de Monsieur, la sodomie qui me parait être l’ascension de l’Everest en termes de difficulté... pour moi qui la refuse depuis si longtemps. Je ne vais pas jouer la fière sur ce coup-là.

Je ne savais pas encore ce qui allait me tomber dessus le mardi 17 septembre entre midi et quatorze heures.

Mardi 17 septembre 2019

Nous avions bloqué ce créneau pour approfondir le test de l’antipasti... et pour le coup, je vois dans mon esprit que je vais avoir droit à l’entrée, le premier plat, le deuxièem plat... et le bouquet final... l’explosion en vol.

Donc je me prépare pour ce premier vrai test et plus l’heure avance, plus je commence à devenir... nerveuse. Ça fait longtemps que je n’ai pas pratiqué ma sexualité avec un autre homme que celui qui partage ma vie depuis trente-cinq ans. Donc forcément ça va être... très différent.

Mais avant toute chose, je ne sais pas du tout comment mon corps va réagir... car "Monsieur mon corps" vit en toute autonomie, il a des réactions physiques tout seul dans son coin sans consulter mon cerveau... donc c’est tout l’un ou tout l’autre.

Ou j’accroche tout de suite avec Monsieur, et alors ça va être topissime... ou alors je découvre que ...

... non, finalement ce n’est pas possible... alors là on est dans la merdasse.

Étant en apprentissage soumission, j’apprends que si je ne réponds pas à ses questions ou ses ordres, il me colle une punition.

Donc en théorie, comme c’est le dominant, c’est lui qui devrait avoir les « blancs » aujourd’hui et commencer la partie.

12h10 il arrive, j’ouvre ma porte et lui assène direct :

— Bon ! Monsieur a dix minutes de retard, donc je commence.

Il se dirige vers notre canapé de travail où nous sommes habituellement, s’y assoit, m’attends avec ses petits yeux rieurs, l’air de me dire « je vais voir comment tu t’en sors ma petite ».

Je me dirige vers lui et je monte sur lui à califourchon lui mettant sous son nez mes deux gros seins au balcon. Tout mon corps est en tension, j’ai un tel désir de lui et du plaisir qu’il va me procurer (car je n’ai aucun doute là-dessus, je le sais déjà) que j’ai l’impression que je vibre si fort qu’il peut l’entendre ou le sentir. Lui en revanche a l’air tout à fait à l’aise dans ses pompes... il m’agace un peu sur ce coup-là.

Comme la première fois, il se précipite sur le droit (pourquoi pas le gauche ?? poverino !!) qui se prend le même assaut que la première fois. Il le prend dans ses deux mains, le presse comme pour en faire sortir du jus (non, non il n’y aura pas de montée de lait, j’ai passé l’âge) et se met à le téter de plus en plus fort tout en croquant mon bout tout rose... qui a gardé un souvenir mémorable de la fois ...