Ma copine baisée sous mes yeux... par ses propres frères ! (1)
Datte: 05/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Arthurian, Source: Xstory
... sœur…
J’ai trouvé l’argument particulièrement fallacieux : s’il y avait bien un argument pour qu’il ne les voie pas… c’était qu’elle était sa sœur !
— Et pis bon, on aimerait bien les voir aussi… a ajouté Léon en riant. C’est que t’as grandi depuis le temps !
Ils riaient un peu bêtement, comme des personnes qui ont trop bu. Mais l’alcool n’expliquait pas tout, il s’agissait quand même de frères et sœurs !
Et de ma copine par-dessus le marché.
J’étais sûr que Sophie serait atrocement gênée par ces échanges déplacés, surtout venant de ses frères. Elle qui était déjà timide et pas très à l’aise avec ces sujets-là en temps normal…
Mais non, elle riait comme eux, en prenant apparemment plaisir à la blague. Comment était-ce possible ? Il y avait forcément une explication pour leur comportement aberrant !
Ce qui a suivi a pourtant repoussé encore les limites de ma surprise : Sophie a glissé les mains derrière son dos, puis elle a dégrafé son haut de maillot de bain. Elle s’est ensuite emparée du vêtement, puis elle l’a jeté au loin.
Théo avait la bouche ouverte sous le coup de la surprise, et je devais probablement être comme lui.
Mais qu’est-ce qui se passe ?
Pourtant, n’y avait-il que de la surprise dans cette mimique observée à l’improviste chez Théo ? Un sourire réjoui se lisait sur son visage devenu clairement lubrique, si bien que l’admiration le disputait certainement à l’étonnement. Et il y avait de quoi, puisque ma copine valait le coup ...
... d’œil !
Très mignonne, elle avait un visage fin et délicat, un vrai visage d’ange, encadré par de jolies mèches blondes qui lui tombaient jusqu’à la moitié du dos environ. Sa poitrine était opulente, surtout vu la finesse de sa taille. Cette même finesse rehaussait encore les courbes de ses hanches, en même temps qu’elle mettait en valeur le plus adorable petit cul que la terre ait jamais connu.
Bref, ma copine était parfaite, et ses frères en étaient bien conscients…
— Va voir de plus près à quoi ça ressemble, Théo ! a lancé Matthieu à son plus jeune frère, qui clairement ne brillait pas, même s’il était évidemment très excité.
Des larmes ont commencé à couler le long de mes joues, mais j’ai lutté pour les retenir. Je ne revenais toujours pas de ce que j’avais sous les yeux, mais je ne voulais pas m’humilier encore plus en me mettant à pleurer comme un gosse.
Il faut que j’intervienne !
Mais je n’ai pas bougé d’un pas.
Théo, lui, n’a en revanche pas hésité très longtemps : il s’est approché de sa sœur, une lueur lubrique dans le regard, puis il a posé doucement les mains sur ses seins. J’ai frémi : tout cela était tellement immoral ! Et Sophie n’a rien dit ni n’a rien fait pour l’en empêcher. Au contraire, elle lui a souri de manière encourageante, puis elle lui a dit :
— Alors, tu aimes ?
Il a hoché la tête avec vigueur, c’était clair qu’il était au paradis. En même temps, les seins qu’il avait entre les mains avaient beau être ceux de sa sœur, c’était ...