Réinitialisation du compteur à plus de vingt - Histoires de Sexe

Réinitialisation du compteur à plus de vingt

... faire remarquer. Tu sais que j’aurais préféré avoir la même poitrine que toi ? Moi, ça ballotte dans tous les sens, les tiens sont petits, mais bien fermes, bien pointus !
— Tu envies mes seins ? Ben moi, c’est les tiens que j’envie !

Anne-Marie se met à rire :

— Hihihi ! Décidément, les femmes ne sont jamais satisfaites ! Eh, Daniel, t’en penses quoi des seins de ta gonzesse ?

Fugacement, j’ai eu peur qu’elle me demande de faire un comparatif entre sa poitrine et celle de ma petite amie ! Je réponds tout de suite :

— Ma gonzesse, comme tu dis, a de magnifiques lolos. Elle n’a absolument pas à avoir honte de sa mignonne poitrine.
— Tu vois, Laé, la vérité sort de la bouche des hommes…

Lætitia se renfrogne :

— Ça compte pas ! Daniel est amoureux de moi… Il est aveugle !

Je saute sur l’occasion :

— Je suis content, ma chérie, que tu reconnaisses sans problème que je suis effectivement amoureux de toi. Et toi ?
— Euh… je… Si je suis ici avec toi, c’est qu’il y a une raison, non ?

Elle se met à rougir, je pose ma main sur son bras. Anne-Marie rit à nouveau :

— Halala, ma pauv’ Laé ! Même ça, t’as du mal à le dire !
— Ce ne sont pas tes oignons !

Anne-Marie se redresse, ce qui fait osciller ses seins plutôt lourds, et s’adresse à moi :

— Daniel, tu peux me dire pourquoi ma copine te plaît tant.
— Parce que c’est elle, tout simplement. Aussi bien pour sa tête bien faite, pour sa façon de faire et pour son physique.
— Tu peux me détailler ...

... son physique ?
— T’as des yeux pour voir, il me semble. Des charmes de ma mie, j’en passe et des meilleurs, vos cours d’anatomie, allez les prendre ailleurs !
— Oh ça, c’est pas de toi…

Je me contente de sourire. Lætitia est toujours un peu rouge, mais quelque chose est différent dans son regard. Elle me fixe quelques secondes, avant de murmurer :

— Merci…
— Pour quelle raison, ma chérie ?
— Pour la façon dont tu m’aimes…

Je me penche sur elle pour déposer un doux baiser sur ses lèvres salées. Elle se laisse faire, puis se détourne, s’allongeant à nouveau sur la serviette, accoudée, une lueur de fierté et de défi, un petit sourire aux lèvres.

Sa voisine s’amuse de la situation :

— Dame Lætitia et son chevalier-servant… beau couple !
— Je ne vois pas pourquoi je te répondrais !
— C’est ce que tu viens de faire, Laé ! Allez, viens te baigner avec moi, j’ai à te causer.
— Tu ne peux pas me causer ici ?
— Te causer entre femmes…
— OK, OK…

Lætitia se tourne vers moi :

— Excuse-moi, mon chevalier, mais il semble que ma présence soit exigée !
— Pas de souci, mais n’oublie pas de revenir !
— Idiot !

Elles se lèvent toutes les deux et s’en vont batifoler dans l’eau, suivies par divers regards avides. Assis sur ma serviette, je les vois s’amuser, discuter et parfois faire de grands gestes. Je me demande ce qu’elles sont en train de se raconter !

Puis je les vois revenir, côte à côte. Elles s’allongent pour se faire sécher et dorer au soleil. Au bout ...