COLLECTION BELLE-MÈRE. Elle, elle et elles (1/1)
Datte: 04/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Elle, je dirais la première de ces trois elles.
Elle était la femme de mon entraineur de judo.
J’avais 14 ans quand je l’ai vue pour la première fois.
30 à 32 ans, une vraie poupée japonaise.
Je m’éveillais à la sexualité malgré mon jeune âge et je suis de suite tombé amoureux de ce petit bout de femme.
À 14 ans, je mesurais déjà 1 mètre 60 et elle 1 mètre 50.
Mais, c’était la femme de monsieur Wang mon professeur de judo.
Je pratiquais ce sport depuis l’âge de 5 ans et à cet âge,
je battais déjà des jeunes de 16 et avec le temps des jeunes de 18 à 20 ans.
Le temps passait et j’intégrais les équipes de France.
On me prédisait une carrière la même que le champion le plus connu au monde Teddy Riner.
Je devais le remplacer lorsqu’il aurait pris sa retraite.
Chou, c’était le nom de cette femme que j’aimais secrètement et que je cherchais dans les tribunes lors de compétitions sachant qu’elle accompagnait mon maître chaque fois qu’elle le pouvait.
Entre-temps, j’avais grandi et je mesurais 1 mètre 96 pour 80 kilos, elle toujours son mètre cinquante.
J’étais grand et fort, mais j’étais timide surtout envers les femmes.
C’est en Allemagne lors d’une compétition remportée haut la main que j’ai rencontré Mia, la sœur de mon adversaire battu en finale et venu du Japon.
Œil bridé comme ceux de Chou, mais les traits un peu disgracieux si je les compare à la ligne si pure de cette femme aimée en secret.
En plus, Mia concourait dans les ...
... plus de 70 kilos et avait donc une carrure bien différente.
Qu’importe, c’est dans la salle des repas qu’en anglais langue que j’apprenais intensément que je l’ai draguée.
Ce sont dans les toilettes du Palais des congrès où se tenait la compétition que j’ai perdue mon pucelage le soir ou j’ai infligé un ippon à son frère en moins de deux minutes.
Vu l’espace, il m’était impossible de la plaquer au sol, mais son kimono enlevé je me suis assis sur la cuvette et après qu’elle m’ait sucé, elle s’est empalée sur ma tige.
J’ai réussi à ce qu’elle jouisse avant de décharger au fond de sa grotte.
J’étais content, j’avais vaincu ma timidité et surtout j’en avais fini avec ce pucelage et les boutons qui tapissaient mon visage.
Le mois suivant, je partais avec maitre Wang pour un tournoi à Amsterdam dont je devais être la vedette.
Cette compétition, j’y venais tous les ans depuis l’âge de 15 ans et j’y étais invaincu.
J’aurais beau jeu de dire qu’à ce jour, j’étais invaincu, car l’année suivante, dans un tournoi en Espagne, j’ai dû déclarer forfait.
C’est un petit doigt de mon pied, doigt que je me suis pété à l’échauffement en préparant la finale contre le champion local.
La presse en a fait des gorges chaudes me faisant passer pour un trouillard ayant peur d’affronter leur champion.
Le trouillard, c’est en moins de 20 secondes qu’à la compétition suivante je l’ai immobilisé l’obligeant à abandonner.
Nous rentrions dans notre voiture que mon maître ...