1. Le coiffeur de ces dames (1)


    Datte: 03/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... l’exciter un peu plus pour connaître sa réaction.
    
    Quelque chose d’épais gonfle son pantalon, je pose la main dessus et découvre une grosse barre bien dure et de plus en plus impressionnante. Je n’ose croire ce qui m’arrive. Je peux me tromper « sur la marchandise » mais ça a l’air très conséquent.
    
    La bosse qui déforme son pantalon parle d’elle-même et commence d’ailleurs à prendre des proportions inquiétantes. Heureusement que la cliente a les yeux fermés et un casque sur la tête pour écouter de la musique.
    
    L’ambiance devient de plus en plus chaude. Dominique est comme statufié de ma hardiesse et ne me repousse pas.
    
    Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon et commence à le baisser très lentement, faisant apparaître le sommet d’un membre imposant qui s’est échappé de son slip. Je me mets à penser que sa longueur est imposante mais sans plus, sans avoir vu le morceau en entier. Mais au fur et à mesure que je descends son pantalon, je découvre une teub à la forme d’une banane très recourbée, d’une épaisseur incroyable à son extrémité et s’affinant de plus en plus en s’approchant d’une paire de couilles bien pendantes.
    
    Je n’ai jamais vu un tel sexe, loin de la forme conventionnelle, bien droite comme celle de mon mari. Je réalise soudain ce que je fais mais ne peux m’empêcher de continuer. Dominique bande si dur et si fort que le museau de sa queue touche son bas-ventre tellement elle se dresse au ciel.
    
    Je la saisis et sens la résistance de ce jonc ...
    ... vigoureux que j’amène à l’horizontale pour pouvoir la sucer comme je veux mais j’arrive difficilement à la mettre entièrement dans ma bouche tellement le gland est mafflu et me frotte le palais.
    
    J’adore les longs membres et me surprends à caresser et gober ce gourdin à la forme si singulière de matraque, effilé à la base et si épais à son extrémité. Je n’ose imaginer les sensations d’un tel soc labourant une moule trempée.
    
    Je prends sa verge dans ma bouche, quel engin!!! J’ai un peu de mal à l’absorber, au maximum d’ouverture de mes mâchoires, je lèche son gland, puis j’enfourne sa banane.
    
    Je lui montre ce que je sais faire avec ma langue. J’arrive presque à l’avaler entièrement, sachant à quel point les mâles aiment sentir leur bite buter au fond d’une gorge accueillante. Mais l’épaisseur énorme des premiers centimètres me l’interdit et je manque de m’étouffer.
    
    Je retire un peu le morceau et le flatte avec la pointe de ma langue mais il m’échappe et remonte claquer sur son bas ventre, comme monté sur ressort. La position n’est pas pratique et je me glisse sous la table, permettant à Dominique de continuer sa tache. Pourvu qu’il ait la main sûre avec son rasoir !
    
    Je suis déçue car il jouit trop vite.
    
    Je sens son sperme se répandre dans ma bouche, sur mes amygdales et glisser vers le fond de ma gorge. Je m’accroche à l’énorme bâton crémeux, en appréciant le goût du liquide de ce jeune homme, mais néanmoins, après avoir déglutie, je continue de sucer sa lance, ne ...