Moi, ma copine et sa sœur (4) - Histoires de Sexe

Moi, ma copine et sa sœur (4)

... seconde avant de l’envoyer à Romain. Je posai de nouveau le téléphone et retourna voir ma mère et ma sœur.

Je voyais bien que ma mère était sur le point d’atteindre l’orgasme alors je me mis sur le côté et je commençais à lui sucer un sein. Son téton était très dur et je sentais qu’elle respirait vite et ses gémissements étaient de plus en plus rapides et forts. J’avais peur que les voisins nous entendent, mais cette peur s’est envolée au moment où j’ai senti les doigts de ma mère à l’entrée de mon sexe à travers ma culotte. Elle poussa un peu ma culotte sur le côté pour me pénétrer et quand je sentis ses doigts en moi, je gémissais tout en lui suçant le sein. Mais peu de temps après, je l’entendais gémir très fort. Par réflexe, j’appliquai ma main sur sa bouche pour tenter de couvrir le bruit, en vain.

— Oh putain, c’était bon. Ça faisait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir. Merci les filles.

— Mais de rien, maman. Lui répondit Alexa ravie.

Elle avait de la cyprine tout autour de la bouche et sur le menton et on voyait qu’elle avait vraiment apprécié faire cela. Elle se leva pour nettoyer sa propre cyprine qui maculait désormais le sol. Je récupérai mon téléphone et repartis dans ma chambre. Après tout ça, j’avais grand besoin de me masturber. Je me posai sur le lit et regardai mon téléphone et je remarquai que Romain avait répondu. Il m’avait envoyé une courte vidéo de lui se masturbant avec comme légende « Merci pour la vidéo, j’espère ...

... pouvoir toutes vous rejoindre bientôt » et je dois bien admettre que de penser à lui nous baisant toutes les trois, cela m’excitait beaucoup et j’avais hâte que cela arrive.

*

Alexa

La journée de lycée était finie et j’attendais ma mère près de sa voiture. Ma mère nous avait convaincues, ma sœur et moi de ne plus porter de haut à la maison et même si j’étais timide au début, j’ai finis par beaucoup aimé cette liberté. À tel point que ce matin-là, de ma propre initiative, j’avais décidé de venir en cours sans soutien-gorge. Évidemment, ma poitrine étant assez dominante, tout le monde l’avait remarquée et j’avais eu droit à quelques regards insistants de la part des gars dans ma classe. Mais la seule personne qui m’importait à ce moment était ma mère. Elle me sourit et me fit un clin d’œil quand elle vit que je ne portais pas de soutif. Mais à ma grande surprise, je vis qu’elle n’en portait pas non plus. Nous avions toutes les deux eu la même idée.

Tout ça pour dire que quand je la vis trottiner pour me rejoindre à la voiture, sa grosse poitrine rebondissait énormément dans son chemisier et plusieurs personnes la regardaient de loin.

— Je crois tu attires certains regards. Lui dis-je en pointant dans la direction du lycée.

— Oui et toi aussi d’ailleurs. Tu aurais dû les voir dans la salle des profs, on aurait dit des animaux.

— À ce point ?

— Mais oui ! Ton prof d’histoire était comme un fou. S’il avait pu me sucer les seins dans la salle, il l’aurait ...