1. Du sommet du Galibier aux pavés de l'enfer


    Datte: 02/01/2023, Catégories: fh, fhh, hplusag, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), vengeance, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, sm, dominatio, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Tu m’as fait grimper au rideau. Si c’est ce que tu veux, on peut en rester là !
    — C’est vrai, tu ne m’en voudras pas ?
    
    Il lut la déception sur son visage, il enchaîna :
    
    — Ça a été génial pour moi aussi… Dans d’autres circonstances. Mais tu comprends, si tu ne travaillais pas ici…
    — Arrête… Laisse-moi !
    
    Il se sentit lâche, veule. Il remisa précipitamment son vermicelle et quitta la pièce.
    
    C’est lui qui revint. Liliane lui apportait un frisson qui avait totalement disparu de sa relation avec Magali, sa femme et patronne. Pendant plus de dix ans, sans que cela sorte du cadre du couple, leurs ébats avaient été plus que fréquents et très satisfaisants. Ces dernières années, leur vie amoureuse s’était éteinte peu à peu pour se résumer à quelques rares baises routinières. Prises par ses responsabilités, la volonté de faire grandir l’entreprise, la maîtresse en Magali avait cédé la place à une épouse froide, limite frigide et la notion de devoir conjugal avec toutes ses implications était apparue.
    
    Avec Liliane, il avait retrouvé un brin de folie. Ils baisèrent un peu partout dans la boîte : dans le bureau de Liliane bien sûr, mais aussi dans les toilettes, les couloirs, les hangars, l’atelier. Il l’avait même prise dans le godet d’un tractopelle. Des baises sauvages, des étreintes rapides sans chichis ni figures compliquées où ils laissaient s’exprimer leurs désirs les plus primaires. Il ne l’avait jamais vue nue, ils n’avaient même jamais aperçu la pointe de ses ...
    ... seins. Il les avait malaxés, en avait pincé les tétons en passant sous son sweat, mais jamais elle n’avait ôté son soutien-gorge. Par crainte d’être reconnus, ils n’avaient jamais « opéré » à l’extérieur de l’entreprise.
    
    Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles jusqu’à ce funeste vendredi d’octobre.
    
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    Mai 1995 – octobre 2015
    
    À vingt-cinq ans, après un master en génie civil, Jacques avait été recruté par Pierre de Castelgandolfo en tant que conducteur de travaux adjoint. Ce poste, récemment libéré, était une véritable opportunité, qui lui permettrait de ne rien changer à sa vie rangée. Il pourrait continuer de squatter la maison familiale et profiter du room-service. Uniquement préoccupé par ses études et son vélo, la proximité de la fac et de son club lui avait permis de rester chez papa-maman. Libéré de tout souci d’intendance, il pouvait, hors du temps d’étude puis de travail, se consacrer totalement à son sport. Il pédalait plus par plaisir que pour la gloire. Son petit gabarit avait fait de lui un bon grimpeur et lui avait donné une certaine renommée au niveau local.
    
    Pour son trentième anniversaire, ses géniteurs lui signifièrent qu’il devrait peut-être penser à se trouver un appartement. En fait, ils lui avaient dit : « Tu as un mois pour te trouver un appart ». Il avait alors emménagé dans un petit deux-pièces où il menait une vie quasiment monacale. Les femmes tenaient peu de place dans sa vie. Il appartenait à cette ...
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