Jean Louis, l'autre client du kiosque à tabac.6. La surprise. - Histoires de Sexe

Jean Louis, l'autre client du kiosque à tabac.6. La surprise.

Lisa était heureuse, elle prenait beaucoup de plaisir avec Jean Louis, physiquement et cérébralement.

Elle se sentait pleinement en phase avec ses envies de perversité, elle se savait jeune et voulait dévorer la vie et ses plaisirs sexuels.

Son bonheur la rendait irrésistible, les hommes se retournaient sur elle.

Ils ne se cachaient pas de reluquer son magnifique cul cambré, elle avait néanmoins apprit à ses dépens, qu'elle devait bien choisir ses amants.

En effet, entre Marc et Jean-Louis, elle a accepté qu'un chauffeur de taxi, client cinquantenaire, genre vieux beau, mais marié, passe la prendre à l'arrêt de bus devant chez nous.

Elle le trouvait sympathique et charmant, et il a réussi au bout de deux jours à la baiser dans un coin discret, à l'intérieur de la voiture.

Elle s'est vite lassée de lui, mais il l'aimait, elle mettra presque six mois à s'en défaire, tant il la harcelait.

Désormais, elle essayait de deviner si l'homme cherchait l'amour ou le sexe, elle osait sans gène regarder leur anatomie génitale a travers leur pantalon.

Elle devinait dans leur regard, s'ils étaient dominateurs. Ils pensaient avoir trouver une bonne proie, mais en fait, ils tombaient dans son piège, grâce à son sourire angélique.

La plupart de ses amants réguliers avaient ce profil: grand, imposant, viril et dominateur.

Elle s'attendait à une surprise de Jean Louis, depuis leur conversation sur un trio, avec un autre homme.

J'aimais la voir épanouie, elle ...

... baisait, autant et comme, elle le désirait, quelque fois plus souvent qu'elle le voulait, puisqu'elle assouvissait mes besoins et ceux de Jean Louis.

Elle m'avait demandé de l'accompagner deux fois à la brasserie.

Elle me disait alors:

"Bon, j'y vais! Il m'attends! A tout de suite!".

J'avoue que l'attendre en sachant ce qu'ils faisaient était un supplice excitant.

Elle devenait cochonne, et m'étonnait beaucoup, je devinai que Jean Louis la changeais en salope assumée.

La première fois, elle est revenue s'assoir, sans dire un mot, je lui demande doucement ce qu'ils ont fait.

Elle me regarde, entrouvre sa bouche pleine de foutre, puis avale devant moi.

"C'est lui qui m'a demandé de faire ça!".

"Et ça te plait?".

"J'adore! c'est vicieux! Je te choque?".

"Non, ça m'excites moi aussi! profites de votre complicité avant qu'il parte".

"Justement, c'est ce que je fais".

La deuxième fois, elle est revenue, puis a murmuré:

"Il m'a enculée!".

Puis en sortant, elle lui fait la bise, je lui sers la main et vois qu'il me glisse un morceau de tissu, mis en boule.

Je le mets dans ma poche, puis à l'extérieur regarde discrètement, c'est la culotte de ma femme, je la range vite, excité de savoir qu'elle n'a rien sous sa jupe.

Lisa se blottit contre moi, en disant:

"Merci mon amour!".

Je l'embrasse.

"De rien".

Plus tard, elle a une petite fuite.

"Oh, ça coule!".

"Débrouille-toi, ma petite salope! Tu dois assumer ton coté ...