1. A travers la vitre 2/3


    Datte: 31/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Coupledévergondé, Source: Hds

    ... bien. C’est vrai que ça m’excite. Je dis tout de même, pour la forme :
    
    - Oui mais là je n’étais pas présent.
    
    - C’est donc ça, tu aurais voulu en profiter aussi, petite cochonne… Il y aura d’autres occasions, ne sois pas jalouse.
    
    Elle a gagné, elle m’a mis dans tous mes états en me parlant au féminin, avec ses yeux de braise. Je sens que je bande et elle le voit.
    
    - Raconte-moi. Que s’est-il passé ?
    
    - Tu veux tout savoir ? J’ai hésité à raccrocher quand tu m’as appelée. Je me suis dit que ça t’aurais plu. Tu peux te branler pendant que je te raconte.
    
    Hypnotisé par tes paroles, je sors ma queue dressée alors que je me suis déjà fait jouir une demi-heure plus tôt. Je suis face à toi, la queue en l’air.
    
    - Alors : je suis arrivée sur le parking et la voiture d’hier était là. Je me doutais que le mec serait sensible à mon « invitation » à revenir le lendemain. A peine m’étais-je garée qu’il est sorti de sa voiture. Il s’est approché et a sorti sa bite de son pantalon, en commençant à se caresser. Tu m’as appelé à ce moment-là. J’étais en train d’ouvrir ma chemise. Tu as rappelé. J’ai vu que j’avais mal raccroché, mais je t’ai imaginé suspendu au bout du fil et j’ai trouvé cela très érotique. Cette fois-ci, j’ai baissé la vitre. J’en avais très envie hier. Peut-être que si je l’avais fait hier je n’y serais pas retournée… Je lui ai montré mes seins. Ca lui a plu : il a passé son bras par la fenêtre et m’a pelotée. Là j’ai compris que j’étais trop en rut pour ...
    ... contrôler quoi que ce soit et j’ai rapidement raccroché mon portable. Il m’a demandé où tu étais. J’ai dit que tu te branlais probablement à la maison en pensant à ta femme adultère. Nous avons ri tous les deux. Alors, il m’a parlée très vulgairement. Le fait de me voir revenir l’a mis en confiance, apparemment. Au lieu de me vexer, ça m’a rendue folle. J’ai passé mes bras par la vitre et j’ai déboutonné sa braguette. J’ai extrait sa queue à moitié bandée, et j’ai commencé à l’astiquer. Puis, j’ai ouvert ma bouche, en le regardant comme une chienne. Il a compris l’allusion à la veille et il a approché sa queue. J’ai fait le tour de son gland avec ma langue. Et je l’ai sucé, lentement, avec beaucoup d’excitation. Elle avait un autre goût que la tienne, j’ai bien aimé. Je dirais même que j’étais affamée… Le pauvre, il n’a pas tenu très longtemps. Je l’ai senti se raidir. Mais comme je voulais te ramener un petit souvenir à la maison, je ne l’ai pas laissé jouir dans ma bouche : j’ai dirigé sa queue vers mes seins et il a lâché la purée. Il m’a bien tartinée, regarde.
    
    Tu ouvres ta veste et je découvre ta chemise souillée, collée à tes seins. Après l’aveu, les preuves physiques de ta lubricité. Tu me fais un signe du regard, très explicite, qui m’indique de venir te nettoyer les seins. J’approche ma bouche, je sens l’odeur forte, tu m’appuies sur la tête et je me retrouve la tête dans tes seins gluants. Je commence par lécher tes tétons du bout de la langue, puis je fais le tour ...