Une chute de vélo (18)
Datte: 31/12/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... occuper.
Katia s’étant excusée pour avoir paniqué et réveillé toute la maisonnée encore endormie quand Julie s’était levée lui demandant si quelqu’un savait où j’étais, le petit déjeuner se passa dans la bonne humeur générale,
Après le petit déjeuner, nous sommes tous allés nous étendre sous les arbres. Comme nous reprenions le mode nudiste, Julie m’appliqua de la crème solaire pour que je ne ressemble pas à une écrevisse le soir m’avait-elle expliqué. J’en fis de même pour elle, et profitai de mes mains sur son corps. Nous nous embrassâmes longuement, comme le font les amoureux lorsqu’ils sont seuls. Puis à genoux, assis sur mes talons devant elle, j’admirai les reflets de la lumière sur son dos, sa croupe, ses jambes. Plus je la regardais, plus je la trouvais parfaite. Je ne me privai pas de lui dire encore et encore, combien je l’aimais, que je ne m’étais jamais senti aussi vivant que depuis qu’elle était entrée dans ma vie, et voulais faire son bonheur.
— Tu veux réellement faire mon bonheur ? Promis ?
— Oh oui mon ange, rien ne me fera changer d’avis.
— Alors fais-moi l’amour, tout de suite. J’ai terriblement envie de toi, de me sentir défaillir dans un orgasme dont tu as le secret.
Quelqu’un a dit un jour : « Chose promise, chose due » : sans perdre un instant je me penchai sur elle. Je posai ma bouche sur sa nuque, puis l’embrassai délicatement. Mes doigts effleurèrent tout juste ses épaules. De mes lèvres, je suivi la ligne de sa colonne vertébrale, ...
... en direction de sa croupe, et déposai des baisers de plus en plus appuyés sur chaque vertèbre. Mes mains caressèrent ses bras puis ses flancs, frémissants sous mes doigts.
Alors que j’approchais de ses fesses, ma langue se joignit à mes lèvres pour appliquer des baisers plus longs, plus soutenus, gouttant sa peau douce et parfumée par la crème solaire que je lui avais appliqué plus tôt, plus pour avoir une raison de la caresser que pour la protéger du soleil, sa peau déjà bien bronzée n’en avait guère besoin.
Julie gémit doucement lorsque j’arrivai à la base de son sillon. Je lui saisis les fesses, les compressant, les écartant, les pressant tandis que ma langue descendait très lentement sa raie. Elle devait savoir que je bandais depuis que j’avais placé un genou de chaque côté de ses épaules. Mon sexe suivait cette même ligne dorsale empruntée plus tôt par ma bouche. Je pouvais ressentir les cheveux de Julie sur chaque parcelle de mes attributs, que j’utilisais comme un outil supplémentaire, lui frottant lentement la nuque d’avant en arrière. Mes couilles qui pendaient suivaient le mouvement tant bien que mal. Elle-même poussait quelquefois sa tête contre, lorsqu’elles remontaient suffisamment haut.
Elle semblait apprécier, et moi aussi j’aimais m’occuper ainsi de son corps merveilleux. Mes mains glissèrent sur ses jambes au moment où ma langue toucha son anus, lui caressant l’intérieur d’une pointe que je poussai de plus en plus profondément en elle. Je continuai ...