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Une mère et sa fille très dévergondées (1)
Datte: 31/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory
... main aller et venir. Tire à fond quand tu es en bas pour bien dégager le gland. En tenant bien la queue dans ta main. Pas trop rapidement. Laura suivait les conseils de sa mère avec attention. — Houla ! Ça grossit beaucoup ! rigola-t-elle. — C’est que c’est agréable pour Philippe, répondit sa mère. Pendant que Laura se concentrait sur ses mouvements, Nathalie se tourna vers moi. — C’est la première fois qu’elle fait ça, me confia Nathalie au creux de l’oreille. — Tu veux dire qu’elle n’a jamais connu de garçon ? — Non. Elle est vierge. Mais je crois qu’elle a envie d’essayer avec toi. Elle t’aime beaucoup, tu sais. C’est important pour une fille, pour sa première fois, de faire ça avec un homme en lequel elle a confiance. J’étais de plus en plus surpris. Après m’avoir laissé assister au spectacle de leurs amours incestueux, Nathalie était à présent en train de mettre dans les bras de sa propre fille. C’était fou. Nathalie se rapprocha, tout près de Laura. — Ma chérie, ça te dirait que Philippe te fasse l’amour ? Tu voudrais essayer ? La jeune fille devint rouge écarlate. — Moi veux bien. Mais tu es sûre que ça ne te gêne pas ? — Bien sûr que non, je ne suis pas possessive, tu sais. Je te prête Philippe avec plaisir. Il est vraiment très habile, très doux. Tu vas voir, c’est très bon. Pour ma part, je ne pouvais pas refuser cette proposition. En effet lorsqu’un homme de 45 ans, comme moi, reçoit pour mission de satisfaire une jeune ...
... fille de 18 ans, en général il ne refuse pas. Et quand la jeune fille est vierge, ça en devient même un incroyable honneur. En attendant, j’avais un splendide panorama sur la jolie petite chatte de Laura. J’approchai ma bouche au contact de sa vulve, et je l’embrassai. Je sortis ma langue pour goûter au fruit défendu. Avec délice, je me mis à lécher sa minette, promenant ma langue entre les chaires odorantes et juteuses. Le goût était délicieux, l’odeur enivrante. Je me redressai alors et je rapprochai mon sexe droit et dur de la chatte de Laura. D’une main, j’écartai ses lèvres et je dirigeai mon gland vers la fente en question. Je commençai alors à pousser, guidant imperceptiblement ma queue pour la laisser doucement pénétrer. Laura laissa échapper un gémissement de plaisir. Je pouvais sentir son vagin étroit, presque serré, qui se détendait lentement. Je ressortis alors ma queue, la rentrai à nouveau, plusieurs fois, avec douceur. Peu à peu, le vagin de Laura s’élargit, et se lubrifia. Il me suffit alors de pousser juste encore un peu, et je me retrouvai au fond d’elle. Laura poussa un long soupir satisfait. — C’est bon, n’est-ce pas ma chérie ? demanda Nathalie. — Ho oui maman. Vraiment très bon ! Je commençai de lents et délicieux va-et-vient. Comme Nathalie, Laura produisait beaucoup de cyprine et toute cette humidité facilitait grandement mes mouvements en elle. Allongée à côté de nous, Nathalie regardait, visiblement heureuse et émue. — C’est ...