Mariage Kabyle (5)
Datte: 30/12/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
Nuit de rêve
Comme je vous le racontais lors du chapitre précédent, j’ai facilement donné mon cul pendant toute ma jeunesse. Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin, et je ne sais pas trop comment mes parents l’ont appris.
Donc, mariage plus ou moins forcé pour sauver l’honneur de la famille. Quelle connerie, quelle idiotie de l’époque qui obligeait deux êtres à s‘unir, avec peu de désir. Faire l’amour à mon épouse était un véritable supplice, n’y parvenant que rarement et après de nombreux efforts. Super cette morale à la con qui rendait deux êtres hyper-malheureux, l’un avec une sexualité contrariée et l’autre en femme plus qu’inassouvie.
Heureusement, après une bonne réussite professionnelle, j’ai pu mettre fin à ce calvaire en ayant eu quand même une joie merveilleuse, celle d’avoir un fils, que j’adore, qui me le rend bien et qui connaît parfaitement ma vie actuelle, l’approuvant sans réserve, surtout que je m’étais quand même un peu calmé.
Pour revenir à cette fameuse soirée, les garçons commençaient à être sérieusement éméchés, et ça me gavait de plus en plus, d’autant plus que ces odeurs de mâle me montaient à la tête, et qu’Omar s’était rapproché de moi, réclamant son dû avec forte insistance.
— On va laisser les jeunes continuer à s’amuser, Marc... On rentre ?
Notre départ est passé quasiment inaperçu, sauf peut-être de la part de Kamel, un des invités de l’âge de Réda, qui me matait assez souvent. A chaque fois que mon regard se posait ...
... sur lui, il se caressait discrètement le sexe dont la bosse, si elle n’atteignait pas celle d’Omar, me semblait presque aussi volumineuse et prometteuse.
Arrivé à la maison, je me suis jeté sous la douche pour retrouver une certaine fraîcheur, quand l’Homme, dans toute sa splendeur est venu me rejoindre. Je ne sais pas si c’était une illusion d’optique, mais son centre de gravité me paraissait encore plus gros et plus long que d’habitude. Il surmontait allègrement son nombril jusqu’à atteindre la base de ses pectoraux. Il m’a collée contre la paroi, son poitrail velu épousant mon dos :
— Je veux ta chatte, je veux te défoncer toute la nuit comme tu ne l’as encore jamais été.
Sans préambule, il m’a écarté les fesses et s’est introduit en moi, en entier et d’une formidable poussée. Je ne m’étais qu’à peine essuyée lors de nos précédents coïts dans la soirée, son sperme tapissait encore mon conduit, lubrifiant cette violente intromission dans mon intérieur. Il me besognait comme un fou, cherchant à aller toujours plus loin et plus fort, jusqu’à ce qu’une fois la douleur passée, j’atteigne le Nirvana, ce que je n’avais que rarement connu, sauf quelquefois avec Ilyas.
En hurlant, il s’est déversé dans moi à longs jets qui me semblaient ne jamais se tarir, débordant même de ce puits qu’il avait foré au maximum. J’étais lessivé, mais comblé, j’avais l’impression qu’un tronc d’arbre était passé entre mes jambes, et à ma plus grande stupéfaction, Omar conservait toute sa ...