1. Olga, Elodie et Philippe - 15- Dimanche soir: Elodie et Philippe


    Datte: 28/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... continua son massage par le haut des épaules, descendant sur les seins aux tétons érigés. Ils étaient à la fois douloureux et très sensibles. Philippe le comprit car il massa avec une infinie douceur et sensuelles ce qui était si fragile. Lentement il passa plus bas, sur le plexus et le bas ventre. Elodie était aux anges.
    
    Philippe posa ses genoux de part et d’autre des épaules d’Elodie. Son sexe était tendu de désir. Philippe s’employait à masser les lèvres du sexe d’Elodie, insinuant ses doigts entre elles et caressant son clitoris. Celle-ci n’en pouvait plus et ramenait ses mains sur son sexe pour lui prodiguer une douce masturbation.
    
    Elodie désirait jouir, mais surtout sentir ce sexe en elle. Elle n’en pouvait plus, ayant un désir immense de jouir, d’être pénétrée, de se sentir possédée.
    
    - Je vais te faire l’amour lentement ma petite Princesse.
    
    Elodie comprit qu’il se comportait avec elle comme avec quelque chose de très fragile, prêt à se briser à tout moment. Tout à son bonheur, elle ne ressentit pas, à ce moment-là que, pour Olga, témoin silencieuse et impuissante, cela était plus qu’une inquiétude, une véritable blessure, dont elle était responsable, ayant ouvert la boîte de Pandore, en poussant l’étudiante dans les bras de son mari. Olga donna alors le signal, en tendant un préservatif à son mari. A la réflexion, elle préférait que cela se passe ainsi, même si le couple avait toute confiance en Elodie. Même si, dans son fort intérieur, elle aurait voulu ...
    ... que Philippe se répande en elle, Elodie comprit le choix d’Olga qui, en même temps, marquait leur volonté à tous les trois de préserver le couple.
    
    Philippe avait choisi de prendre la petite en missionnaire. Elodie se sentit défaillir quand Philippe déroula le préservatif sur sa queue. Elle savait que le moment était enfin venu Il se présenta à la porte de son intimité. Elle mouillait terriblement et son entrée se fit tout en douceur, tout en langueur, millimètre par millimètre, s’enfonçant inexorablement au plus profond d'elle-même, jusqu’à la délicieuse buttée.
    
    Elodie, à chaque avancée de cette queue tant désirée en elle, haletait d’extase, se sentant de plus en plus prise et possédée par la force terrible de cet homme parfait et tellement puissant. Il savait que cette position était idéale pour une pénétration plus profonde et pour un maximum de plaisir. Philippe fit ouvrir les yeux d’Elodie pour qu’ils puissent lire dans leurs regards toute l’intensité du moment. Il voyait, dans les yeux bleus profonds de la petite, briller la lueur du plaisir et du bonheur qu'elle éprouvait. Cette position classique permettait aussi à Philippe de caresser Elodie, en particulier ses petits seins mode Birkin, si sensibles, et aux amants d’unir leurs lèvres dans de longs baisers.
    
    Sentant que leur extase n‘était pas loin, Philippe décida soudainement d’une variante.
    
    - Mets tes jambes sur mes épaules, Princesse !
    
    La pénétration qui s’en suivit fut plus profonde, rentrant en elle ...
«12...567...11»