1. Viens là, sal*** que je te troue le c**


    Datte: 31/08/2018, Catégories: fh, facial, Oral pénétratio, coprolalie, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    ... queue que j’avais cru sentir de bonne taille tout à l’heure était toujours là. Il ne devait pas être habitué à chauffer une fille aussi vite car il a semblé un peu déconcerté. Il essayait encore de m’embrasser une fois sorti de l’ascenseur pendant que je cherchais mes clés. Je n’avais que faire de ses baisers, je voulais qu’il me baise. La porte à peine refermée, je me suis retournée, l’ai plaqué le dos contre la dite porte. Et je me suis agenouillée.
    
    Il devait crieralléluia à plein poumon dans sa tête, d’avoir trouvé une telle fille. Je n’avais que faire de son opinion. Il me fallait une poutre entre les cuisses et j’étais prête à l’obtenir. Toutes celles qui ne jurent que par les caresses, les préliminaires, ne sont que des mijaurées. Elles s’imaginent pouvoir atteindre le nirvana du plaisir dans l’attente, mais elles se trompent. Ce que ce genre d’homme veut, c’est de la fille facile, de la salope, de l’actrice porno amateur. Il était servi. Ma langue léchait avec application sa bite avant d’avaler son gland avec gourmandise. Mes lèvres bien serrées descendaient sur son gland. Pendant ce temps, ma main le branlait avec fermeté. Mon chemisier ouvert sur ma poitrine généreuse, il avait une vue excitante que je complétais avec des gestes qui l’étaient tout autant. Il semblait particulièrement aimer lorsque son sexe courrait sur mon visage.
    
    Il s’imaginait que là, sur le pas de la porte, sans même m’avoir prise, il allait me jouir au visage. Je l’aurais fait pour mon ...
    ... amoureux, jamais pour une aventure d’un soir. Il n’était pour moi qu’un sextoy dans lequel je n’aurais pas besoin de mettre de piles.
    
    Je me suis relevée et je l’ai invité à me suivre dans la chambre.
    
    — Viens me baiser.
    
    Une invitation que l’on ne refuse pas et, s’il n’avait pas déjà été en érection, nul doute qu’il aurait bandé à ce moment-là. J’ai donc rejoint mon lit en me déshabillant. Enfin nue, je me suis mise à genoux sur le lit, juste sur le bord du lit, les jambes dans le vide. En appui sur le lit, j’étais prête.
    
    — Mets une capote et baise-moi.
    
    Je lui parlais volontairement avec un langage clair, il ne m’avait pas donné l’impression d’être un cérébral.
    
    L’instant d’après fut un véritable électrochoc. Au moment même où il m’a prise, ce que j’attendais depuis plusieurs semaines, il m’a dit que j’étais une, ce sont ces termes, « vraie chaudasse ». On n’avait jamais eu de mots vulgaires à mon encontre lors d’une relation sexuelle mais celui-ci m’a excitée. C’était exactement ce que j’avais été ce soir, je l’assume.
    
    Alors qu’en n’importe quelle autre circonstance, j’aurais pris la mouche, j’ai été excitée.
    
    — Alors, défonce-moi.
    
    Il s’est agrippé fermement à mes hanches et il m’a littéralement pilonnée. Il donnait de grands coups de bassin tout en m’attirant à lui. Je voulais être défoncée et j’étais servie. Son sexe dilaté par l’excitation, il me bourrait avec une bite plus qu’appréciable. Je n’ai pas pu résister et bien sûr, je me suis mise à ...