1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (9)


    Datte: 28/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Al admirait son chef d’oeuvre...sa femme, la douce, la pudique et bourgeoise cadre infirmier, nue en porte-jarretelles et bas noir, accrochée à un palan par les bras, les cuisses attachées, relevées et bien écartées. La vulve était ouverte et dégoulinait de cyprine et de sperme.
    
    Voir sa femme dans une telle position, attachée, livrée à trois hommes plutôt patibulaires, dans un garage minable, lui semblait surréaliste, et c’est lui, que Muriel, la véritable instigatrice de la déchéance de sa femme, avait désigné comme "exécuteur des basses œuvres “ !
    
    Al se sentait tout puissant, comme un dieu de la pornographie, qui avait sa femme à sa complète disposition sexuelle, avec trois "ouvriers bien membrés" pour exécuter ses moindres caprices. Qu’aurait-il pu demander de plus ?
    
    Et en plus, il se disait, que si il accomplissait bien sa tâche, faire progresser sa femme dans les chemins tortueux de la dépravation sexuelle, il aurait une chance de participer aux séances SM organisées par Muriel, que cette dernière s’était promise de faire subir à sa femme. Pouvoir être le témoin privilégié de l’imagination débordante et sadique de Muriel, dans son donjon situé dans la cave de leur voisine...cela dépassait tous ses fantasmes les plus fous !
    
    Toujours un sourire aux lèvres et une lueur sadique dans le regard, il s’amusa à faire tourner la pauvre Fanfan sous son palan, comme une toupie, dans un sens puis dans l’autre. Et puis...il regarda autour de lui et se demanda ce qu’il ...
    ... pourrait faire de vicieux à Fanfan, dans cet environnement mécanique et sale.
    
    Son regard effleura les pièces de voitures démontées qui gisaient sur le sol sale et poussiéreux, et puis son épouse, les carcasses à demi éventrées des véhicules, et les outils qui étaient rangés sur les tableaux muraux, ainsi que sur les établis garnis d’étaux plus ou moins volumineux.
    
    Il savait que derrière les caméras, seuls artefacts propres et modernes de ce taudis, Muriel attendait ses prochaines actions, sur le corps disponible et offert de son épouse. Il sentait aussi les trois prédateurs sexuels attendant ses ordres. Leur faire à nouveau baiser sa femme, après la séance de débauche qui avait eu lieu peu avant, serait contre-productif...Muriel attendait des actes vicieux, brutaux et pervers de sa part. Et pas une ultime séance de baise classique.
    
    Mais voilà, regardant sa femme qui avait un regard craintif et soucieux, il perdit tous ses moyens...il ne pouvait se résoudre à faire souffrir l’être qu’il aimait dans la douceur, et une passion tendre. Passion tendre, si tendre d’ailleurs, qu’elle était peut-être la raison pour laquelle il ne prenait plus trop son pied avec son épouse, et que leurs accouplements se faisaient de plus en plus rares et peu excitants. Al pesait le pour et le contre et allait rendre les armes, quand son téléphone sonna. C’était Muriel.
    
    “ Alors cher voisin on se dégonfle ? J’ai aimé la façon dont tu as organisé la partouze de ta femme, mais je sens bien que ...
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