1. Le dressage de ma famille (4)


    Datte: 28/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: queldroma, Source: Xstory

    ... que je me découvre pour elle. Elle se détache de mes lèvres, rouge comme une tomate.
    
    − Je, non... C’est mal, tu es mon frère, balbutie-t-elle.
    
    − Et ? dis-je.
    
    − On ne devrait pas le faire, réponds ma sœur.
    
    − Je suis d’accord de le faire, notre sang ne doit pas nous empêcher de vivre.
    
    − Je ne peux pas, maman ne voudra pas, je... Je... tente d’expliquer ma sœur.
    
    − Faisons-nous du bien ce soir, car on en a besoin et réfléchissons demain OK ? dis-je en la serrant dans les bras une de mes mains lui caressant le dos.
    
    Anita, se détache de moi et part en courant dans sa chambre. Réfléchissant à ce sentiment naissant, je prépare à manger. Maman, totalement épuisée, arrive. On mange. Je vois que ma mère a envie de parler de quelque chose uniquement à moi. Avec ma sœur qui est encore gênée par notre bisou d’avant. Pas besoin de faire un tableau de l’ambiance de ouf qui se dégageait de la table.
    
    Un peu dépité et fatigué par les montagnes russes d’émotion de ses derniers jours, je pars tôt me coucher. Maman me rejoint un peu plus tard. Toujours en zone rouge, elle m’embrasse goulûment, puis m’explique sa journée. Apparemment la fille de Cyril nommée Pauline se serait plainte de mon attitude envers elle. Je lui passe les enregistrements et lui explique le plan en cours et que ses actions ont fait naître des sentiments entre ma sœur et moi. Elle paraît apaisée, après un moment elle réalise.
    
    − Tu as des vues sur ta sœur maintenant ! Et moi, je ne compte pas ? ...
    ... dit-elle ébranlée.
    
    − Au contraire maman, je t’aime de tout mon cœur. Je fais partie des gens qui peuvent aimer plusieurs personnes à la fois et n’oublie pas que tu as signé pour une soumission pas pour l’exclusivité, dis-je en la bécotant et malaxant ses mignons petits seins.
    
    − Je te rappelle, zone rouge, dit-elle d’un petit rire en me repoussant.
    
    − Zut, c’est vrai, dis-je faussement triste.
    
    − Bon, je peux faire le poing dans ma poche si ta sœur est à cent-pour-cent d’accord d’être avec toi, avoue ma mère.
    
    On continue notre discussion, je l’inclus dans notre plan en lui demandant de contacter Gaspard puis elle retourne dans sa chambre dormir, l’air bien plus apaisée qu’avant. Je suis soulagé et m’endors instantanément.
    
    L’ambiance au petit-déjeuner est surréaliste. Ma sœur fait sa timide et ma mère me fait du rentre-dedans. Finalement, j’annonce à ma sœur.
    
    − Maman est OK, si tu l’es aussi.
    
    − Réfléchi bien ma jolie, répond lui ce soir. Car ses fantasmes demandent plus que justes de l’amour, ajoute inopinément Maman.
    
    − Quel fantasme ? demande ma sœur, une ombre d’inquiétude dans les yeux.
    
    − Maman ! Sur mes genoux, tu es allée trop loin, dis-je autoritairement en claquant des doigts.
    
    Sous la stupéfaction de ma sœur, notre mère s’exécute et je lui donne cinq fessées bien dures suivies d’une belle galoche.
    
    − Et tu voudrais que je t’obéisse aussi ? demande ma sœur, mal à l’aise sur sa chaise.
    
    − Grâce à maman, j’ai découvert que j’aime les femmes ...
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