Les Backrooms de l'Apolis (2)
Datte: 27/12/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: AlexandreBihlar, Source: Xstory
... mecs se branler au-dessus de moi. Deux personnes plutôt âgées, bedonnantes. Sur le moment, je n’ai pas trop envie de les sucer, j’attends donc juste la bouche ouverte pour récupérer le jus. Je ne vais pas en perdre une goutte, je suis en transe, dans cette ambiance chaude, de râle et de sueur.
Un des deux crache rapidement et le jus coule directement sur mon visage et ma bouche, il est épais, chaud et plutôt amer. L’autre essaye encore de se vider pendant quelques secondes, puis part ailleurs, frustré. Moi aussi.
J’en veux encore plus. La nuit vient de commencer, mon trou est loin d’être rempli dans cet océan de bites et de foutre. Je sens me transformer, tel un animal sauvage pris d’une rage incontrôlable, insatiable.
Il est temps pour moi de me relever pour quitter la pièce principale, trop impersonnelle et peu propice aux rencontres intimes. Ce putain de passif à côté de moi se fait encore défoncer, il doit être hors du temps. Je le laisse à son jeu.
Je me dirige vers l’entrée du labyrinthe, 4 couloirs sans lumières agrémentées de recoin, de trous, de slings avec un passage au centre du parcours suffisamment étroit pour que deux corps qui le traversent soient obligés de se toucher.
Dans ce labyrinthe, on avance à l’aveugle avec les mains, les paumes sont tes yeux, où ton q et ta bouche sont prêts à rencontrer n’importe quel mec qui veut se vider.
Il fait une chaleur à en crever, une odeur âcre de sueur, de foutre et de bière renversée. On entend des ...
... râles, des claquements de couilles sur le cul, des étouffements et quelques discussions à voix basse. On est bien loin du son et lumière de la piste de danse, mais à choisir, je préfère largement le spectacle qui se joue ici.
Je commence à avancer dans le couloir, touche les murs pour me repérer. Je prends un peu de temps pour essayer de m’habituer à l’obscurité ambiante, pour tout du moins essayer de deviner les contours des mecs que je vais croiser. J’avance, puis au premier détour, ma main rencontre la peau chaude d’un mec. On s’observe deux trois secondes, je n’arrive pas vraiment à distinguer.
N’arrivant pas à deviner son intention, je retire rapidement ma main et m’engage pour continuer mon chemin. J’avance de deux pas et je sens une main se coller fermement sur mon cul. Mon pantalon est à moitié remonté, il retombe légèrement sur mes hanches. Il est légèrement trempé de ma sueur et de la première dose de foutre que j’ai reçue il y a quelques minutes.
Je m’arrête, surpris par le geste. Non, pas surpris, mais intrigué. Je vais pour continuer quand une main me prend par l’épaule, me fait retourner et exerce une pression directement pour que je m’agenouille à son niveau. Le pantalon est dégrafé et la bite sortie. Une odeur rance de sueur et de pisse s’ échappe, mais le mec ne me laisse pas le choix. Il exerce une pression sur ma nuque. Il veut bander, il a besoin de se vider et il a trouvé son jouet.
Il est 2h30 à l’Apolis, et je viens de rencontrer Antoine.