Antoine (2) - Histoires de Sexe

Antoine (2)

Voilà voilà voilà...

Depuis que mon histoire est parue sur votre site, il n’a pas fallu 24 heures pour qu’une tension s’installe entre mon fils et moi. Une tension sexuelle ? Heu, je n’aurai pas dit ça pour être tout à fait franc. On est plus proche du malaise qu’autre chose pour le moment.

Mais je vais vous raconter d’abord les derniers évènements. Il s’en est passé des choses entre le moment où j’ai envoyé ma bouteille à la mer et sa découverte.

Tout d’abord, le stress... J’ai failli écrire plusieurs fois au site pour leur dire d’annuler mon histoire, peur de faire n’importe quoi, peur de briser ma famille en révélant ainsi mes idées un peu perverses.

Mais en toute honnêteté, j’ai tellement envie de sexe, tellement envie de me faire prendre, tellement envie de sucer, que ces rares moments de stress sont vite oubliés dès que je vois mon fils. Je ne pensais pas avant tout ça qu’on pouvait être aussi imaginatif en regardant un homme. Enfin, un homme...

Les hommes ne sont pas discrets quand il s’agit de mater notre derrière et notre décolleté, mais je crois que je n’ai jamais autant maté le petit cul de mon fils, ses mains, sa bouche et encore plus curieusement, son entrejambe. C’est débile, on ne voit rien. Comme si j’espérais voir un début d’érection ou je ne sais pas quoi...

Mais cette idée m’a tellement trotté en tête que j’ai essayé de le provoquer ! J’ai tout essayé : décolleté, les bas qu’on commence à deviner si on se baisse un peu, les frottements ...

... accidentels...

Tout ! Mais rien ! Enfin si son regard un peu assistant, forcément. Mais pas que le sien du coup. Ces différents tenus, mon apprêtement dès 8 h du matin jusqu’à 22 heures du soir, ça a commencé à réveiller les hormones de Paul, mon mari. Et tant mieux, car j’ai pu de nouveau m’exercer à nouveau, utiliser mes talents de suceuse à maintes reprises pour le calmer et me calmer par la même occasion. Je ne vous cache pas qu’il n’y a pas une seule fois où je n’ai pas imaginé la queue d’Antoine dans ma bouche quand j’avais celle de Paul.

Ça m’excitait tellement... Rien que d’imaginer son érection dans ma bouche et sentir son sperme couler dans ma gorge... Rien que de l’écrire, j’en mouille...

Donc avec Paul, on a bien baisé cette dernière semaine, ça fait du bien. Et comme je cherchais toujours à avoir une réaction de mon fils, je ne vous cache pas que lorsque Paul me prenait dans notre chambre, je faisais toujours attention à laisser la porte un peu entreouverte, histoire de laisser passer mes cris parsemés de mots bien salaces et voir la porte s’ouvrir un peu plus si Antoine en avait l’envie. Premier soir, rien. 2ème soir, toujours rien. Au 3ème soir alors que Paul commençait un peu à fatiguer, je n’hésitais pas à crier encore plus fort « Vas-y, défonce-moi ! » « Encoorreeee... !

Plus viiiiite ! » « Elle est trop bonne ta queue dans ma petite chatte !!! », je donnais tout et au moment où je commençais limite à désespérer et que Paul me faisait remarquer que ...