1. Sandrine, ma femme, en stage de soumise (2)


    Datte: 25/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DEBORAH SOUMISE, Source: Xstory

    ... Applique-toi... N’oublie pas de me bouffer les couilles, aussi !
    
    Le client la baise longtemps. Maintenant, elle crie, hurle et... jouit !
    
    Soudain, le client se retire brusquement, retire vite le préservatif et éjacule.
    
    Sandrine prend les jets, abondants, les premiers au-delà du nombril... 7 ou 8...
    
    Elle a le ventre maculé de sperme.
    
    Puis c’est au tour du patron. Il se retire de la bouche à Sandrine, se positionne à côté, se branle...
    
    — Ahhh... Ca vient... Je vais jouir sur tes seins... Ahhh... OUI !! Ahh... Prends tout... Oui... Tiens..............
    
    Les jets de sperme s’amoncellent sur la poitrine à Sandrine. Le sperme coule.
    
    Il approche sa queue de la bouche à Sandrine et fait signe au client qui les rejoint et fait de même de l’autre côté.
    
    — Maintenant, tu vas nettoyer nos queues ! Sors bien ta langue, surtout ! Et sers-toi de tes lèvres et de ta bouche. Suce et lèche ! On ne veut plus voir une seule goutte de sperme !
    
    Les deux hommes appuient leurs glands sur les lèvres. Sandrine les lèche à tour de rôle, puis engloutit une bite dans la bouche, puis ...
    ... l’autre, aspire, avale, se remet à lécher. Puis elle arrête, les queues sont propres et luisantes de salive. Elle s’écoule, épuisée et haletante.
    
    Ils se lèvent.
    
    Le client la contemple.
    
    — Regardez ! Elle est couverte de sperme ! Elle en a partout, je n’y crois pas ! Des pieds à la tête !!
    
    Le patron se dirige vers le comptoir, lui et le client toujours nus.
    
    — Venez boire une bière !
    
    Sandrine, toujours allongée, enspermée et épuisée, les entend parler et rire. Parler bien sûr de la séance de baise.
    
    Soudain, un homme, la quarantaine, entre dans le sex shop !
    
    Le matelas où ma femme est allongée entièrement nue et souillée de semence n’est même pas à 5 mètres de l’entrée !
    
    — Ne vous inquiétez pas, Monsieur ! On vient de la baiser, elle se repose !
    
    Sandrine m’a rapporté que bien évidemment, le nouveau visiteur s’intéressait particulièrement aux rayons situés près du matelas où elle se trouvait toujours haletante, le ventre se soulevant par saccades. A un moment, elle s’est même rendu compte qu’elle se trouvait avec les cuisses toujours largement écartées !! 
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