Stéphane (4)
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Léon69, Source: Xstory
... et mon impatience à le recevoir et, pour toute réponse, écartant mes cuisses, je saisis doucement son sexe déjà tellement raide pour le diriger vers mon orifice. Il se repositionna pour être dans le bon axe et je sentis son gland presser fermement ; comme je me crispais, il relâcha la pression un instant puis la reprit ; mon anus déjà entrouvert par ses doigts, accueillit la pointe de son gland et, malgré une instinctive appréhension se laissa forcer ; je le sentis s’écarter et cette sensation incroyable déclencha en moi une grande détente dont Stéphane profita pour rentrer un peu plus à fond ; son gland se trouva enserré dans mon anus et il n’eut qu’à maintenir sa pression pour entrer à fond en moi ; je fus étonné de ne ressentir qu’une faible douleur rapidement dissipée.
Je sentais ses bourses contre mes fesses et son pubis contre les miennes ; et surtout, je me sentais rempli ; étrange et délicieuse sensation que j’avais déjà vécue avec lui, mais que je pouvais encore mieux savourer d’autant plus qu’il s’était immobilisé ; je lui étais reconnaissant d’être là de me remplir le bas-ventre et même au-delà, de m’offrir ce plaisir ; et moi j’avais envie de me donner à lui. J’écartais et relevais encore plus les cuisses et me sentant près il se mit à bouger doucement, en m’agrippant les hanches, à me limer de plus en plus vite et de plus en plus profondément au point, parfois, de ressortir complètement de moi avant de rentrer d’un coup, ce qui me faisait prendre ...
... conscience à quel point mon anus était ouvert et me rappelait la première fois où, après m’avoir pris, il m’avait fait sentir avec mes doigts mon orifice béant.
J’adorais cette impression d’avoir une sorte de sexe intérieur comme féminin ; certains diraient une chatte, mais ce mot ne traduisait pas ce que je ressentais.
Son rythme s’accélérait et il avait lâché mes hanches pour pincer puis pétrir mes seins, ce qui exacerba mon plaisir et me mit dans un état proche de la transe où je ne savais plus trop ou j’étais ; je gémissais, donnait des coups de bassin, remuais la tête dans tous les sens et le plaisir montait encore. Je sentais son plaisir monter aussi, je sentais son sexe s’agiter dans mon bas-ventre d’où des bouffées montaient de plus en plus.
Il me dit qu’il allait venir qu’il ne pouvait plus se retenir qu’il allait me remplir de son jus et je lui criais :
"Oui viens, je te veux partout, je veux que tu me remplisses.
— Viens aussi, avec moi.
— ça monte, c’est presque là...
Il saisit mon sexe et le branla frénétiquement, ce qui mit un terme à ma dernière retenue et fit monter mon sperme tandis qu’au prix de nombreux soubresauts qui m’ébranlaient tout le corps, il vidait sa semence dans mon rectum.
Il s’affala sur moi et j’étais heureux de l’accueillir tout contre moi, peau mouillée de transpiration contre peau ; je sentais son beau sexe encore gonflé palpiter dans mon anus délicieusement ouvert ; je me sentais lui appartenir et cela me comblait de ...