Drôle de psychanalyse (3)
Datte: 24/12/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Sewan Lincoln, Source: Xstory
À peine la porte refermée, je me retrouvai dos contre celle-ci et Lucile en face de moi, m’embrassant avec passion. Dans l’excitation, les gestes pour nous déshabiller étaient moins précis, un peu gauche. D’où sa difficulté pour ouvrir ma ceinture et me faire retirer mon pantalon. J’en riais intérieurement et l’aidai à me déshabiller, tout comme elle me fila un petit coup de main aussi. Nous n’étions plus qu’en sous-vêtement, seule barrière, très maigre je le conçois, pour cacher notre nudité. Nos corps commençaient à bouillonner. Nos respirations se firent plus fort. Mes mains trouvèrent refuge sur ses fesses que je palpais sans ménagement. Nos lèvres toujours collées, nos mains toujours plus avides du corps de l’autre, la jeune psy me dirigea jusqu’à sa chambre. Elle était si belle, si désirable. J’avais terriblement envie de lui faire l’amour, que nous fassions la bête à deux dos toute la nuit.
Et pendant que nous déambulions dans sa maison, je caressai sa culotte toute mouillée, Lucile sursauta de plaisir. La chambre était trop loin. Pas le temps. Trop envie. Nous avons fini par faire l’amour à même le sol.
Au-dessus d’elle, j’embrassais chaque partie de son corps. Son cou, dont la fine peau était exquise, était couvert de baisers, je le mordais à en faire tressaillir mon amante. Je voulais prendre mon temps, mais la situation était urgente. Je voulais l’entendre gémir, jouir. Je me débarrassai rapidement de son soutien-gorge. Ses seins gorgés d’excitation, ses ...
... bouts tendus vers moi étaient un appel au vice. Tantôt je les palpai, les massai, tantôt je triturai ses tétons. Je les faisais rouler entre mes doigts, je les pinçai. Ses réactions étaient sans appel. Mon bassin ondulait contre le sien. L’humidité de mon antre se faisait plus dense, traversait le tissu de ma culotte pour se retrouver sur la sienne. Puis ce fut au tour de ma bouche de prendre assaut de sa poitrine. Mon corps devenait une boule électrique. Chaque coup de langue sur ses mamelons provoquait en elle une réaction qui me rendait encore plus folle de son corps.
Une de mes mains caressa ses flancs, puis ses cuisses et rapidement, elle trouva le chemin de son intimité trempé de désir. J’y fis quelques pressions, sentant son sexe se coller plus à ma main. Elle en voulait plus et moi aussi. J’enlevai précipitamment sa culotte. Et tout en l’embrassant, mes doigts commencèrent leur ballet sur son clitoris. J’enfouis ma tête dans son cou pendant qu’elle gémissait. La pression de mes doigts se fit plus forte, mes mouvements plus rapide. Ses gémissements se firent plus intenses, son corps bougeait en rythme de mes doigts. Puis ce fut la délivrance. Un cri. Des tremblements. Des vibrations. Elle venait de jouir. C’était exquis, terriblement sensuel et érotique.
Ce qu’elle ne savait pas, c’est que je n’en avais pas encore fini avec elle.
La voir ainsi était une jouissance en soi. Je voulais qu’elle goûte à ma langue. Sentir son jus couler dans ma bouche. Après qu’elle eut ...