Fantasme sur beau-frère (1) - Histoires de Sexe

Fantasme sur beau-frère (1)

... lit et me recouvre le corps. La personne rentre dans la pièce... C’est Olivier :

— Qu’est-ce tu fous là toi ?

(mi-énervé mi surpris).

— Je... J’ai... Je... non rien... J’étais venu voir la télé et j’ai eu envie de faire une sieste.

— Quoi ? Tu pouvais pas te reposer sur le canapé ?

— Si, mais il est pas assez confortable, alors je me suis dit... Enfin bref.

Petit silence de quelques secondes puis il me dit :

— Et t’attends quoi pour sortir du lit ?

— Ca te dérange si je reste encore un peu ?

Pris de court par ma proposition, on ne peut plus, gonflé... Il rétorque :

— Allez arrête tes conneries et sors de mon lit.

Entre énervement et impatience...

— OK, je vais sortir, mais tu peux me laisser seul s’te plaît ?

— Tu te fous de ma gueule, t’es à poil là dessous ?

— Non non non... Bon, je vais te dire la vérité... Voilà, demain j’ai une soirée déguisée et le thème c’est que les filles s’habillent en mec et les mecs en nana...

— C’est quoi ce délire encore... Tu veux dire que...

Et sans que je puisse esquisser le moindre geste, le voilà qu’il fait voler le drap et découvre la tenue dans laquelle je suis.

— Putain, t’es grave toi !

— Je te l’ai dit, c’est pour une soirée, en essayant de retirer les fringues...

— Beh vous êtes grave alors ! Allez sors du lit et change-toi... Quand je vais dire ça à ta sœur (rires).

— Ah non non non s’te plaît, lui dit pas, elle va me tuer... alors que je me bats avec ma tenue pour ...

... l’enlever.

Il rit encore.

— Oh si je vais lui dire, on va bien rigoler ce soir.

— Non pitié... pitié... pitié... je te donne des sous, mais lui pas pas.

— Combien ?

— Je sais pas... 20...30 euros...

— Je lui dis rien pour 100 000 euros (rires)

— Allez s’te plaît, je ferais ce que tu veux... le ménage, la vaisselle, les courses, mais ne lui dis rien, entre temps, j’ai réussi à retirer la robe et le jean. Je suis dans les sous-vêtements de ma sœur... devant Olivier...

— Attends, attends... Tourne-toi.

— Quoi ?

— J’ai dit : tourne-toi.

Je fais un rapide tour sur moi-même...

— Non, non... Mets-toi de dos.

Je m’exécute...

— Tu sais que t’as un joli petit cul ?

Gênée, je me re-retourne...

— Qui t’a dit de bouger ? Retourne-toi !

Je le sens s’approcher de moi et me dire :

— Tu veux vraiment que je dise rien à ta sœur ?

— Beh oui, qu’est-ce que je dois faire ?

Il me fait pivoter pour me retrouver face à lui... appui sur mes épaules, je résister un peu, mais il force de plus et me faire mettre à genoux...

— On va trouver un moyen de s’arranger...

Et sur ces mots, il baisse son pantalon, laissant son caleçon légèrement bombé devant moi et me dit :

— T’as compris ? Si tu veux que ça reste entre nous, il va falloir me faire plaisir...

Je suis sur le point de me relever, mais d’une main, il m’agrippe par la tête et de l’autre baisse son caleçon.

Je fais la choquée "non" "t’es fou" "arrête"... Mais en vrai, j’en meurs ...