1. Ma professeur d'amour


    Datte: 22/12/2022, Catégories: fh, fplusag, vacances, hotel, amour, Oral fsodo, init, initiatiq, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    À Danièle…
    
    Juillet 1976, nous étions quelques amis, de la région parisienne et moi, l’alsacien du groupe, je devais apporter la tente pour passer des vacances à Contrexéville où Patrick, l’un des membres du groupe, allait rejoindre son amie Babeth…
    
    Arrivés au camping, grosse surprise : les piquets de la tente manquaient ! Mon neveu, je l’ai appris plus tard, avait sorti le paquet de ma voiture, car je ne voulais pas l’emmener !
    
    Faisant mauvaise fortune bon cœur, nous nous sommes mis en quête d’un abri pour la nuit, pour chercher les piquets le lendemain !
    
    Patrick s’installa chez Babeth, qui partageait une colocation avec Danièle, mi-trentaine, petite brune un peu ronde qui venait du midi. Gilles et moi nous avons trouvé une chambre.
    
    Le lendemain, départ pour Colmar, Babeth nous accompagnait, mais Danièle avait rendez-vous avec un « vieux beau » qui lui faisait la cour.
    
    Ce fut une partie de rigolade avec la visite de Colmar, une choucroute dans un resto où
    
    j’avais mes habitudes et d’où je téléphonai à mes parents pour annoncer notre venue pour récupérer les piquets !
    
    Nous retournâmes à Contrexéville, puis nous montâmes la tente… Ouf, nous n’étions plus que deux occupants, Patrick préférant rester avec Babeth. Le soir, nous nous retrouvâmes à l’hôtel pour l’apéro, puis le repas, Danièle toujours accompagnée de son compagnon. Après le repas, celui-ci nous proposa d’aller dans une boîte à strip-tease, chose non prévue dans notre budget de vacances. Il ...
    ... fit l’important et, sûrement pour impressionner Danièle, paya les entrées de tout le groupe. Le spectacle fut émoustillant, puis nous nous séparâmes, Danièle partant avec son cavalier. Patrick et Babeth à l’hôtel, Gilles et moi sous la tente…
    
    Le lendemain ces dames étaient aux soins, nous nous sommes promenés dans la ville, repérant les jolies curistes (si, si, il y en avait, mais plutôt plus âgées que nous…). À midi, repas au resto de l’hôtel, nous avons, sur les instances des filles, pris pension là-bas pour les repas, pas trop chers. Patrick et Babeth s’éclipsèrent, Gille annonça qu’il allait faire la sieste et s’éloigna. Danièle me regarda et me dit :
    
    — Viens avec moi…
    
    Nous montâmes dans sa chambre, elle m’enlaça… Je la caressais un peu, pétris ses seins… Nous nous déshabillâmes, nous couchâmes sur le lit… Je re caressais ses seins, puis sa chatte peu poilue, puis je la pénétrai. Ah le temps béni où on ne parlait pas encore de MST, Sida ou autres, et où baiser sans capote était le plus courant, ces dames prenant la pilule. Je m’agitai, éjaculai, comme souvent. Je ressortis d’elle, satisfait. Danièle me regarda et demanda :
    
    — Satisfait ? Tu as tiré ton coup ? Mais, as-tu pensé à mon plaisir ?
    
    Je la regardai, ne sachant quoi dire… Elle eut un sourire puis me dit :
    
    — Je sais bien que tous les gars de ton âge se contentent de ça en pensant qu’ils font l’amour et ne pensent pas à la femme qui est avec eux. Embrasse-moi, un vrai baiser, bouche à bouche.
    
    Je ...
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