1. Moi paysanne maîtresse du sexe (7)


    Datte: 22/12/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... gesticulant.
    
    — C’est une fille ma chérie, une magnifique petite fille, voilà ta petite Alice.
    
    Elle me la met dans les bras et retourne trifouiller dans mon sexe, elle me nettoie comme elle dit. Je serre ce petit être dans mes bras, mais je sais très bien qu’il faut que ce soit l’enfant de Charlotte. Elle vient vers moi, la regarde avec un amour infini.
    
    — Prends-la dans tes bras Charlotte, c’est ta fille.
    
    — Notre fille ma chérie, notre fille, elle restera toujours ta fille pour moi, même s’il faut faire croire le contraire.
    
    — Je sais Charlotte, mais je dois me comporter comme si c’était ta fille et que je n’étais que sa nurse.
    
    Louise vient vers moi, elle se penche sur moi.
    
    — Tu vas bien mon amour, comment te sens-tu ?
    
    — Très bien mon amour, j’ai encore mal, mais je suis bien entourée des gens que j’aime.
    
    Elle se penche encore un peu, nous échangeons un long baiser. Bérangère a fini de « faire le ménage » comme elle dit, je suis maintenant toute propre, toute belle. J’ai toujours mal, j’essaye de me lever, mais c’est impossible. Elles se mettent à deux, Louise et Bérangère pour m’amener dans notre lit. Charlotte amène Alice dans le berceau préparé par elle-même pour le bébé. Il est entre nos deux lits, comme ça, elle aura ses deux mères autour d’elle. Charlotte regarde Bérangère.
    
    — Tu auras mis au monde la mère et la fille, si Marie est d’accord, tu seras sa marraine.
    
    — Bien sûr que je suis d’accord.
    
    Bérangère prend Charlotte dans ses bras, ...
    ... elle pleure, c’est la première fois que je la vois pleurer.
    
    — Merci ma chérie, merci.
    
    — Tu sais très bien que pour moi, tu es ma vraie mère.
    
    Nous devons rester plusieurs mois au manoir, il faut que je retrouve mes formes. Mais ce que j’aime le plus, c’est donner le sein à Alice. Sentir cette petite bouche me sucer le téton pour en extraire le lait me rend extrêmement heureuse, je sers à quelque chose pour la première fois de ma vie. Et de voir ma « mère » et mes deux « sœurs » me regarder attendries m’amène au bord des larmes. Bérangère a trouvé une personne qui nous a aidés, elle venait me passer une crème sur le ventre, elle nous faisait marcher dans la campagne pendant des heures, j’ai retrouvé ma silhouette en huit mois, mais en plus, je ne me suis jamais senti aussi bien dans mon corps. Louise en profite toutes les nuits, Charlotte aussi, j’aime de plus en plus la sentir vibrer sous mes caresses, ma bouche, ma langue. Je n’oublie pas Bérangère, c’est devenu ma seconde mère, elle veille sur nous comme notre propre mère, j’adore cette femme.
    
    Mi-décembre, Jules accompagne Andrew, il porte les vêtements de mon dépucelage, je suis gênée qu’il voit sa fille sans le savoir, heureusement que c’est à la fin de notre séjour, je n’ai plus de trace de ma grossesse. Il venait prendre de mes nouvelles, inquiet de ne pas m’avoir vue depuis plus d’un an, mais surtout, il venait m’annoncer que comme c’est un excellent cavalier, il allait s’enrôler dans la cavalerie de l’armée ...
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