1. Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature... (2)


    Datte: 21/12/2022, Catégories: Transexuels Auteur: peaceme91, Source: Xstory

    ... et crois-moi, je te ferais des choses que mêmes dans tes pires cauchemars tu n’imagines pas...
    
    Mon corps entier a tremblé en entendant ses mots, mon ami ne voulait pas une femme, mais une chienne pour laisser libre cours à toutes ses perversions. Mon esprit a immédiatement saisi le danger, si je continuais dans ce délire nocturne, j’allais rentrer dans un cercle d’humiliations et de brimades... mais aussi parfois de plaisir. Face à de telles perspectives, j’ai fait ce que toute femme normalement constituée aurait fait. J’ai ouvert la bouche.
    
    J’ai gobé le gland de mon homme, et posé mes mains sur ses fesses puissantes. De la pointe de la langue, j’ai tourné autour de la verge, elle avait une légère odeur d’urine et de sueurs, mais rien de bien désagréable au contraire. J’étais comme une jeune fille le jour de Noël, aux anges avec une bite dans la bouche. Je l’avais tant voulu et maintenant, elle était à moi. J’y mettais du cœur, et mon ami avait l’air d’apprécier au vu de ses gémissements.
    
    — Ta bouche est une invitation à la fellation, mais tu suces comme une femme, or j’attends de toi que tu suces comme une chienne. Mains dans le dos, allez !
    
    Je me suis exécutée, mes deux mains sont venues se poser dans mon dos, me rendant impuissante face à la suite. Il m’a fermement attrapé par ma petite queue-de-cheval, puis lentement, a commencé à mettre des coups de bassins. Chaque coup de bassins, poussant son sexe un peu plus vers le fond de ma gorge, face aux assauts, ...
    ... j’ai fermé les yeux et j’ai tenté de faire bonne figure.
    
    La lenteur de son mouvement n’a pas duré longtemps, rapidement, il a commencé à me pilonner la bouche, tandis que sa main sur ma tête me poussait toujours plus sur le sexe. Dans la pièce, on n’entendait plus que mes bruits de bouches indignes d’une fille bien élevée, ma toux et mes bruits de déglutition face à ce démontage buccal en règle. D’un coup, il a retiré son sexe, puis m’a repoussée comme une vulgaire poupée sur le tapis.
    
    — Allez, il est temps de te donner ce que tu mérites petite Mathilde ! Je vais t’embrocher le cul tellement fort que ma bite risque de ressortir par ta bouche ! À quatre pattes vite !
    
    Au comble du bonheur, et ne voulant que calmer mon feu intérieur, je me suis mise à quatre pattes sur le tapis, puis me suis cambrée tout en agitant les fesses sous son nez comme une possédée. Je voulais être prise plus que tout au monde. Mais mes petites fesses ne reçurent que des claques sonores dans un premier temps, pas de quoi éteindre mes pulsions, bien au contraire...
    
    — Je vais te déboucher directement !
    
    Juste après, mon petit cul fut recouvert de lubrifiant, et j’ai senti le gland ferme de mon amant à l’entrée de mon antre, enfin. Étonnamment, il a fait preuve de délicatesse, rentrant son membre petit à petit, me laissant le temps de m’habituer à son membre. Enfin, j’ai senti ses couilles pleines contre mon postérieur, tout son sexe était en moi.
    
    — Tu sais quoi ma chérie, pour me montrer à ...