-
Jouer peut être dangereux
Datte: 30/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Epistolier, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Jouer peut être dangereux Je m’appelle Jean-Paul, j’ai 51 ans. J'ai un poste important dans une grande banque. Ma femme, Hélène, 45 ans, ne travaille pas. J’adore ma femme. Elle est tellement belle, grande, brune, bien faite, je suis toujours impressionné quand je sors avec elle de voir comment elle ne laisse pas les hommes indifférents. Pourtant je pense que c'est une femme sérieuse occupé la journée dans différentes associations. Pour ma part, je le suis moins, tous les week-ends, où presque, je vais jouer au poker. C’est un vice que j’ai attrapé depuis maintenant plusieurs années. Malheureusement, je perds plus que je ne gagne ! J’ai une dette d’environ 20 000 euros ! Je rembourse comme je peux mais depuis quelques temps mes créanciers se font de plus en plus pressants. Et ils commencent à me menacer. Ma femme ignore tous cela. Un samedi soir nous revenions du restaurant quand c’est arrivé. Hélène était magnifique comme d’habitude. Elle était vêtue d’une jupe noire droite et moulante légèrement fendue sur le coté avec un chemisier en satin vert émeraude. Ses jambes étaient gainées de bas nylon. Ses escarpins la grandissaient encore un peu plus. Des que nous sommes rentrés dans notre villa, nous avons compris que quelque chose venait de se produire. Tout était en désordre. Les meubles renversés. Les rideaux déchirés. Hélène a étouffé un cri et elle m’a crié « Jean-Paul ! Nous avons été cambriolés » Je n’eu ...
... pas le temps de répondre. Quatre hommes venaient d’apparaitre dans notre salon. Ma femme poussa un hurlement. Ils ont tous le visage masqué par une cagoule. Ils se précipitent sur nous. Deux s’emparent de ma femme pendant que les deux autres me maitrisent rapidement. Un des quatre hommes me bâillonna avec un mouchoir roulé en boule enfoncé dans le fond de ma gorge maintenu par une large bande de ruban adhésif. Les deux m’obligent à m’asseoir sur une chaise et m’attachent les pieds et les mains aves le même ruban collant. Hélène se débat maintenant dans les bras des quatre types qui commencent à la peloter. On lui malaxe les seins à travers son chemisier. On farfouille sous sa jupe. Elle a les joues rouges et les cheveux en bataille. Elle gémit et supplie. Horrifié, j’assiste impuissant au viol de ma femme… Un des hommes, le chef vraisemblablement, prit la parole. « Vous n’avez pas remboursé votre dette et Monsieur Max commence à perdre patience » Max ! J’aurais du m’en douter ! C’est lui qui organise les parties de poker dans son club très fermé. J’émets un grognement à travers mon bâillon. Les quatre hommes qui s’occupent de mon épouse lui ont arraché son chemisier. Ses seins apparaissent dans un soutien-gorge en satin. Ils baissent les balconnets et triturent ses seins, tordant les pointes ce qui arracha un cri de douleur à Hélène. Sa jupe est complètement relevée, tirebouchonnée autour de sa taille dévoilant son porte-jarretelles mauve ou sont accrochés ses bas ...