Un cours très spécial à l'université (6)
Datte: 21/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... avec. Le sperme continue de sortir de ma lance toujours étranglée à sa base, maintenant de façon plus continue, comme une source intarissable. Des traînées finissent par dégouliner le long de la hampe. Alors, avec application, elles se battent presque pour recueillir le fruit de leurs efforts, léchant et avalant le divin nectar.
Je me suis effondré dans le canapé et elles se sont allongées à côté de moi, heureuses, me suppliant de recommencer « tout de suite ». Mais pour moi, il n’en est pas question, j’ai beau être jeune, il ne faut quand même pas pousser !!!
Quel bonheur de se faire ses profs qui aiment si bien célébrer la vie ! Je me demande comment je les verrai quand elles seront chastement assises derrière leur bureau de classe...
SOPHIE :
Il a fini par s’assoupir. Quand il se réveille d’une sieste récupératrice, une heure s’est écoulée. Nous sommes toujours à côté de lui, chacune une main sur sa verge toujours prise dans cet anneau d’enfer. Nos papouilles ont enfin fait regonfler son vit fatigué et ont fini par le tirer des bras de Morphée.
Je suis toujours en admiration devant cet épi majestueux que l’anneau a ramené à la vie, retenant le sang dans les corps caverneux pour en faire un tel braquemart malgré sa dépense physique des dernières heures.
Je n’y tiens plus et enjambe son corps pour me pourfendre encore une fois sur cet obélisque de chair. Les genoux posés sur le divan, mes mains autour de son cou, je monte et descends sur son jonc ...
... vigoureux, la tête vide, mais ma gaine de velours défoncée par son manche. On dirait qu’il reprend ses esprits, comme s’il sortait d’un rêve, mais je ne m’attendais pas à sa réaction.
Soudain, il saisit mes cuisses de ses mains et se redresse comme mû par un ressort. Je me retrouve en l’air, suspendue uniquement par mes mains et retenue par sa formidable bite dans ma grotte.
Je suis assez menue et il n’a aucune difficulté pour soulever mes 48 kilos et les laisser s’écraser sur son pieu qui s’enfonce un peu trop loin, me faisant gémir de douleur. Il s’en aperçoit et maintenant joue de mon corps au millimètre près pour que la douleur vire au plaisir, puis à l’orgasme.
Si je m’attendais en faisant ce cours d’éducation sexuelle pour éduquer ces jeunes cons à ce que ça se retourne contre moi et que ce soit moi qui prenne des leçons !!!
Il me soulève des fois trop haut, et Agnès qui n’en manque pas une en gobant ses noix, joue à la chaise musicale, une fois dans la chatte une fois dans le cul... Je déguste encore, car la pénétration est violente et rapide, heureusement que mon anus a déjà pris la mesure de son gros dard.
Mais il est déchaîné et me jette sur le divan, relève Agnès et lui fait subir le même sort.
— Espèces de salopes ! Petites vicieuses de prof ! Vous marcherez en canard quand j’en aurai fini avec vous !
Je ne sais pas d’où il tire encore autant d’énergie, mais je déguste fort. Le pire, c’est qu’Agnès vient en remettre une couche en occupant le trou libre ...