1. Une histoire de voyeurisme (1)


    Datte: 20/12/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... désigne mon canapé. Elle a une robe très courte, les cuisses nues et des escarpins. Ses nichons font saillir la toile. Pas de soutif. Elle joue à quoi, là ? Je n’en mène pas large. Mais non, elle me rassure, dit qu’elle a aimé ma lettre, que son mari ne sait pas qu’elle est là. J’écoute sans moufter. Elle me demande mon prénom. Julien, je lui dis, mais appelez-moi Juju. Elle m’interroge sur mon handicap, me demande pourquoi je suis comme ça et depuis combien de temps. Je ne sais toujours pas où elle veut en venir.
    
    Et justement, elle me le dit :
    
    — Cela vous ferait plaisir de me voir nue ici et non à travers vos jumelles ?
    
    Je reste bouche bée et je balbutie :
    
    — Euh, ben, c’est que...
    
    — Oui ou non ? me demande-t-elle.
    
    Je finis par prononcer un oui à peine audible. Alors, toujours en souriant, la voilà qui prend sa robe par le bas et la fait passer par dessus sa tête, hop, en un tournemain. Je dois faire une drôle de tête, car elle éclate de rire. Elle est toute bronzée, encore plus poilue entre les cuisses que je le croyais derrière mes jumelles. Une toison épaisse, mais taillée au cordeau, si j’ose dire.
    
    Et ce n’est pas tout. Elle écarte les cuisses, se mouille le doigt, et se met à se caresser la fente et me regardant droit dans les yeux. Son sourire se mue en léger rictus. Elle se fait plaisir, c’est clair. Puis elle fouille dans son sac et en sort un truc, mais un truc : oui, un gode. Et elle se le carre dans la chatte, remue les hanches, se mord les ...
    ... lèvres. J’ai le bas-ventre qui me fait une drôle d’impression. Je me touche à travers le pantalon et elle le voit.
    
    — C’est bon, hein ? me dit-elle.
    
    J’ai envie de lui dire : pour vous ou pour moi ? Mais je m’abstiens. Je ne veux pas en perdre une miette. Mais le plus beau est à venir. Elle sort le gode et me le tend.
    
    — A vous maintenant, mettez-le-moi, faites-moi jouir.
    
    Je le prends en tremblant. Elle m’aide à me le mettre et à le faire aller et venir. Puis je le fais tout seul. Elle s’étire comme une chatte sur le canapé, cuisses écartées que c’en est indécent.
    
    Et moi, je l’astique, parfois guidé par elle sur ses points sensibles, parfois tout seul. Elle a posé ses pieds par terre pour remuer son cul. Puis elle se retourne sur le canapé et me présente sa fente. Je l’enfile encore, enfin, façon de parler. Elle gémit, ondule, pas croyable. Et puis elle dit :
    
    — Dans mon cul maintenant, mais lèche-le d’abord.
    
    Je m’exécute, la sueur aux tempes. Ah mon Dieu, le goût d’un anus de femme ! J’en bave, mais pas de douleur.
    
    — Mets-le, ordonne-t-elle.
    
    Je mets le gode dans son petit trou, mais très superficiellement, de peur de lui faire mal. Elle vient à sa rencontre, tournicote du croupion.
    
    — Allez, n’aie pas peur.
    
    Et je l’enfonce, prout, d’un coup. Elle fait
    
    — Aaahh, vas-y.
    
    Et je l’astique, je l’astique. Elle dit des trucs que je comprends à peine, c’est évident qu’elle perd les pédales. C’est gonflé de dire ça, vu mon état, mais je la fais jouir. ...
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