1. Une histoire de voyeurisme (1)


    Datte: 20/12/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... jamais tant joui que les jours où Gérard m’a prise dans la forêt de la Coubre, près de Royan, juste derrière la plage, sous le regard de plusieurs voyeurs en train de se branler en nous regardant baiser. D’accord, j’étais plus jeune, mais au fond, c’est pareil, on ne se refait pas. Bref, le lendemain, c’était dimanche, on était toujours seuls à la maison, il faisait chaud et j’ai décidé de passer la journée à poil. Oui, vraiment à poil, sans même des tongs. J’ai ouvert grand les fenêtres du salon, et de la cuisine, et j’ai commencé à aller et venir, jusqu’à la piscine où je piquais une tête de temps en temps pour me rafraichir.
    
    Un petit coup de bronzage recto verso en écartant bien les cuisses, de l’ambre solaire sur les seins et le ventre, bref le grand cinéma. Comme je le supposais, Gérard n’a pas tardé à se montrer nerveux.- Tu m’allumes ou quoi ? a-t-il grogné. Lui, il avait gardé son short, mais je voyais bien que ça grossissait à l’intérieur. Quand il bande, mon chéri, ça fait comme un angle aigu. J’ai joué l’indifférente en préparant la salade composée de midi, mais je sentais son regard rivé sur mon cul et je commençais vraiment à mouiller. Mon seul souci était de paraitre la plus visible possible de la fenêtre et c’est pourquoi, exceptionnellement, j’ai préparé la salade sur la table et non sur la paillasse comme d’habitude. Enfin, Gérard a laissé tomber son journal et s’est avancé vers moi. Je ne le voyais pas, mais j’ai senti son souffle chaud sur ma nuque ...
    ... et surtout sa queue contre la raie de mes fesses. Derrière le short.
    
    — Qu’est-ce que tu veux ? lui ai-je demandé bêtement. Tu vois bien qu’on va passer à table.
    
    — Te baiser, là, tout de suite et on mangera après.- Cochon, tu ne penses qu’à ça, ai-je dit avec pas mal d’hypocrisie, car je ne pensais qu’à ça moi aussi. Je me suis retournée en m’arrangeant pour m’approcher de la fenêtre, me suis accroupie, ai tiré sur le short et fait jaillir une queue gorgée de sang, tendue vers le haut, prête à l’emploi. La position était parfaite. Il était de profil face à la fenêtre et le handicapé, s’il était là (et j’étais sûre qu’il y était) allait en prendre plein les yeux. J’ai commencé à le branler avant de le pomper avec allégresse en me massant les seins. Puis je lui ai taquiné les couilles avec la langue pour qu’il soit vraiment bien dur. Je me suis relevée (car je commençais à avoir mal aux cuisses, on ne rajeunit pas) et je lui ai dit :
    
    — Et si on allait dans le jardin ? Les voisins sont partis depuis hier en week-end, je les ai entendus. On sera vraiment tranquilles.
    
    — Tant mieux parce que j’ai envie de t’enculer. De te voir remuer les fesses à poil depuis ce matin, ça m’a mis le feu. Tu vas couiner mon lapin.
    
    — D’accord, mais tu me lèches d’abord.
    
    Je me suis mise à quatre pattes sur le bain de soleil, toujours de profil, cul bien levé et j’ai senti la langue de mon cher et tendre m’explorer le petit trou avec la science qui le caractérise. En même temps, je me ...
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