1. Tombés du ciel (23)


    Datte: 20/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... bouche, mais si Roger était habitué à ce genre de partage lesbien entre les deux femmes, Alicia craignit de choquer Bruno. Et puis, elle avait un besoin urgent à satisfaire.
    
    — Mmmmh, j’ai la chatte en feu. Et la culotte trempée. Et toi, maman ?
    
    — Hein, euh, oui, moi aussi. Nous sommes deux belles salopes...
    
    — Oui, et elles aiment quoi les bonnes salopes ? Se faire brouter le minou... Hein, maman. Avec notre foufoune en feu, il nous faut bien ça, non ?
    
    — Ohh, ma chérie. Je, oui, oui, je suis une traînée, j’ai envie de me faire butiner comme une chienne, souffla Bérénice dans un râle.
    
    Alicia se recula légèrement et put admirer le slip en coton de Bérénice. Le pauvre sous-vêtement était trempé et les cuisses de Bérénice dégoulinaient de mouille. La strip-teaseuse se leva et tendit ses mains vers Roger. La petite jeune femme "l’aida" à se relever pour prendre sa place. La queue de l’agriculteur se maintenait à une belle horizontale et brillait de la salive qu’Alicia y avait laissée. Elle se cala bien confortablement dans le canapé et elle toisa Bérénice du regard :
    
    — Alors, ne me dis pas que tu n’as pas envie de te faire bouffer la moule, maman ? Allez, vieille pute, installe-toi...
    
    Se faire appeler ainsi donna des frissons de contentement à la quinquagénaire. Elle eut un sourire avide et lubrique. Elle se redressa et invita Bruno à se mettre également debout. Le jeune homme, comme paralysé par la situation, se laissa complètement faire. Le sexe de Bruno ...
    ... était bien dressé et peut-être même pointait-il vers le plafond un peu plus franchement que celui de Roger. Par contre, il était tout aussi enduit de la salive de Bérénice. Elle lorgna un instant sur ce pieu dressé avant de prendre sa place sur le canapé.
    
    Les deux hommes se retrouvèrent un peu bêtes devant elles. Alicia comprit qu’il fallait encore les motiver quelque peu même si leurs regards braqués sur les sous-vêtements humides des deux femmes laissaient penser que leur sang bouillonnait de désir. Ils avaient été relativement passifs, à part leurs mots grossiers, là ils allaient avoir à prendre une part beaucoup plus active :
    
    — Alors mes cochons ? Vos deux petites salopes ont envie d’une bonne léchouille. Vous savez bien les faire et vous aimez ça... J’ai le con en feu, Roger vient donc me calmer avec ta langue.
    
    — Moi aussi, j’ai besoin d’être satisfaite. Allez, venez nous manger la moule, vous adorez ça. Allez..., insista langoureusement Bérénice.
    
    Alicia vit que la quinquagénaire n’avait plus besoin de motivation. Elle était même demandeuse de la bouche de Bruno. Celui-ci tomba d’ailleurs à genoux entre les jambes de Bérénice. Les lèvres du boucher se posèrent sur les cuisses de Bérénice et goûtèrent délicieusement au jus qui les maculait. Alicia vit la bite de Roger tressauter. De jalousie ou d’excitation ? Lorsqu’elle le vit fixer sa culotte, elle sut que c’était son désir pour elle qui allait l’emporter ; si elle ajoutait un petit quelque chose de lubrique. ...
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