Le 36 (1)
Datte: 19/12/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Laure8314, Source: Xstory
... montrer patte blanche pour accéder à ce statut. Peut-être aurais-je le plaisir de vous y compter ?
— Les femmes sont ici les reines de la soirée. Vous êtes en droit absolu d’accepter ou pas d’autres hommes. Personne n’est en droit de vous forcer à ce que vous ne désirez pas.
— Cela peut vous paraître paradoxal, mais les femmes ici peuvent être court vêtues sans risquer de susciter des remarques, des regards ainsi que des gestes déplacés. Les regards ne se doivent d’être que des hommages à la beauté, la douceur, la sensualité de la gent féminine.
— Il est agréable pour une femme de pouvoir dévoiler ses charmes en n’étant regardée qu’avec respect. Et sachez-le, c’est aussi agréable pour votre compagnon. N’est-ce pas Monsieur ?
Nous acquiesçons sans formuler de réponse. La main de Loïc se faufile à nouveau dans mon dos, il se remet à me caresser la cambrure naturelle de mes reins. Je lui lance un regard réprobateur. En guise de réponse, j’ai le droit à un immense sourire envoutant et une accentuation de la pression de sa main sur mes reins. Il sait ce que cela induit chez moi, il joue avec moi, comme j’ai joué avec lui au restaurant. Je sens ma vulve s’ouvrir, mon abricot qui s’humidifie, je me retiens, je lutte contre l’envahissante chaleur qui me prend lentement. Je me dandine discrètement pour faire comprendre à mon homme de cesser sa délicieuse torture. Il fit le contraire en appuyant encore plus sa caresse. Lionel me regarde, nous regarde.
— Vous avez ...
... les jambes croisées, Madame. C’est une réaction typiquement naturelle chez une femme assise. Ici point besoin de cela, vous pouvez les ouvrir comme bon vous semble. C’est une sensation de liberté qui devrait vous plaire. Aucune crainte, je ne verrai rien même en face de vous la lumière est tamisée.
Je jette un regard à Loïc, je souris, il me sourit, sa caresse plus pressante fait tomber mon dernier rempart, j’abandonne et je décroise mes jambes.
— Je voudrais que cette première soirée reste pour vous deux inoubliable, que vous y repensiez ensuite. Lança Lionel.
— Enlevez votre string, Madame, posez-le sur la table.
J’ai subitement la bouche sèche. L’assurance de cet homme, la lenteur de ses phrases, l’intonation de sa voix donnent à ses mots un aspect diabolique. Ma respiration est plus courte, devant mon inaction, Loïc prend les devants, il plonge ses mains sous ma robe, me forçant ainsi à prendre appui avec mes épaules sur le dossier de la banquette en velours, je soulève mes hanches. Loïc passe ses mains sous ma robe et fait glisser mon string qu’il jette sur la table.
— La situation vous trouble, Madame. Monsieur caressait votre compagne.
La main gauche de Loïc repart à l’assaut de mes fesses, sa main droite se pose sur mon sexe gonflé et humide. Il joue avec mes lèvres vaginales, ses doigts se promènent sur et dans mon sillon. Loïc me masse la vulve, remonte sur mon clitoris que je sens sortir et devenir dur. Lionel tranche les derniers liens de ma ...