Ma vie comme dans un X des années 70 (5)
Datte: 19/12/2022,
Catégories:
Transexuels
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
Si vous avez lu le premier épisode de cette série, qui n’est pas chronologique, vous savez que Caroline était en cette fin des seventies, la jeune chérie de Patrice (votre serviteur, jeune également). Et Pascale ? C’était la bonne copine, confidente de Caroline. Si je repense à elles deux, charmantes perdues de vue depuis des lustres, elles avaient tous les atouts pour jouer les authentiques bisexuelles. Ce qui m’aurait permis de me glisser, parfois, dans leurs petites séances saphiques, et réaliser ainsi LE fantasme basique du jeune macho poliment féministe que j’étais alors. Deux femmes se gougnotant pour le bonheur du mâle. On voyait ça dans tous les films X, c’était presque un passage obligé. Avec ou sans gode ceinture.
Soit. Mais on ne le vivait que bien plus rarement dans la vraie vie... D’où cette idée de me bâtir à présent de petits « remakes » consolateurs de mes aventures inabouties, en mode porno vintage. Ainsi, avec Caroline et Pascale, une banale blague sur la taille des bougies que collectionnait Caroline, avait pu, disons plutôt: aurait DÛ, basculer en mode partie à 3, et sans tergiverser. Hélas la vraie vie était moins fun. On nous parle aujourd’hui encore de libération sexuelle post soixante-huitarde. Elle avançait à pas très mesurés, si vous voulez mon avis. Au moins pour moi.
Ceci dit, il ne fallait pas non plus se plaindre trop : Caroline était assez ouverte aux innovations. Ma première sodomie, c’est avec elle que je la réalisai, un soir où nous ...
... avions fumé d’étranges cigarettes aux senteurs afghanes. Un autre jour, nous abordâmes au lit la question des lingeries sexy comme piments de la libido. Contrairement à bien des filles de son âge qui jugeaient alors que c’était « seulement pour les professionnelles », et donc indigne du MLF, ma mie ne rejeta pas l’idée. Et l’on se rendit donc un samedi dans un grand magasin parisien dont le nom évoque une saison propice aux amours, en vue d’y acheter l’objet fétiche ultime : un porte-jarretelles. Les Dieux étaient de mon côté, elle fut OK pour le prendre en noir, et d’accord aussi pour des bas voiles assortis, plus deux autres paires couleur chair. Je frôlais un genre de rêve absolu ! Ma copine allait tenter les bas à la place de collants ou chaussettes !
Ces emplettes me bouleversèrent au point que buvant un verre avant de regagner notre banlieue, je dus me rendre aux toilettes du bistro pour y décharger un jet violent de foutre. Je n’en pouvais plus.
On alla chez elle. Ses parents avaient le bon goût de partir souvent en résidence secondaire pour le week-end. L’essayage des dessous tant attendu se déroula dans une euphorie certaine, avec séquence de baise à la clé comme on le devine. Caroline était plutôt sportive, ses fesses galbées sans la moindre marque de mollesse, ses jambes élégantes, sa toison discrète, tout cela se trouvait sublimée par la parure sexy. J’étais aux anges. Caroline reconnut qu’elle se faisait un peu l’impression d’une putain. Mais précisa sans ...