COPAINS D’AVANT
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds
... sentais ses caresses parcourir rapidement mes formes pulpeuses, à la recherche du temps perdu, alors que sa langue faisait son travail de préparation montant mon niveau d’excitation à son extrême.
- Emmène-moi sur le lit, et prends-moi maintenant.
- Non pas tout de suite, laisse-moi profiter de toi... J’aime te coincer comme ça, et je me souviens que tu adorais cela...
- Ohhhh Thierry, tu vas me rendre folle, on est fou tous les deux, on va regretter tout ça...
- Non ma belle, je vais te prendre, te posséder, te violer.... C’est de ça que tu as envie...
Sans attendre, il releva ma jupe Vichy, laissant apparaître mes bas et mon string en dentelle noir, me remonta les cuisses autour de ses hanches et après avoir écarté la lanière de ma culotte me pénétra avec force. Son sexe m’envahit, me laissant échapper un premier cri de stupeur. J’avais oublié cette sensation d’être possédée par cet homme brillant, puissant, cet amant qui m’avait retourné le cœur à 25 ans et qui recommençait 30 ans plus tard. Je sentais son désir entre mes cuisses qui était toujours aussi fort, et qui me détruisait l’entre-jambe tel un redoutable marteau piqueur. Il me pilonnait avec une énergie athlétique. Robuste, solide, tout-puissant et terriblement viril, il me baisait violemment, alors que comme une sangsue, j’avais accroché mon corps à ses hanches et son cou. Ses mains s’étaient saisies de mes fesses afin de me porter, et sa langue continuait à jouer entre mes lèvres. L’énergie de son ...
... sexe me rappelait quel amant exceptionnel il avait été, tout en le démontrant aujourd’hui par la preuve et avec l’ardeur de son membre qui coulissait en moi rapidement. Combien de temps cet homme athlétique allait-il pouvoir me baiser de la sorte. Même si mon IMC était tout à fait acceptable pour une femme de 55 ans, je pesais quand même 60 Kg, ce qui représentait sur la durée un challenge qui ne semblait pas le gêner. Ses coups de reins me submergeaient de plaisir. Son sexe m’habitait, rallumant cette envie et amour de ma jeunesse. Je gémissais, grognais, pleurais...
- Ohhhh Thierry, oui, c’est si bon, tu me fais jouir, tu me prends comme une folle, emmène-moi sur le lit, et baise moi comme une chienne. Prends-moi comme une roturière.
- Attends un peu ma belle, il faut mériter le lit...
Sortant son sexe de ma chatte en feu, il m’attrapa par-derrière, de ses bras musclés par les hanches, et me souleva pour me renverser, la tête en bas. Lui debout, appuyé contre la porte et moi la tête en bas lui tournant le dos juste maintenue par ses bras forts. Il avait la tête entre mes cuisses et sa langue plongeait dans mon vagin, alors que je prenais son gros sexe tendu dans ma main, pour fourrer son gland dans ma bouche. Je sentais tout l’effet de sa caresse buccale entre mes cuisses et encore une fois me demandait combien de temps, il allait pouvoir maintenir cette position. Sa langue jouait avec les grandes lèvres de mon sexe, alors que je sentais un doigt qui titillait mon ...